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Khadafi dans tous ses états: No comment

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Kadhafi sous tente et en péniche à Paris ou les pantalonades de Sarkozy

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Désolé ! Il n’y a même pas une photo de l’évènement. “Les passants avaient un indice : des femmes en uniforme militaire kaki sur le navire. De quoi deviner l’identité de la mystérieuse “personnalité” qu’elles escortaient. Une scène incongrue s’est déroulée mercredi sur les ponts de Paris. Ils ont été successivement interdits aux piétons dans l’après-midi pour laisser Mouammar Kadhafi, en visite officielle dans la capitale, se promener sur la Seine.”

“-Aahh ! Messire ! Un Sarrasin. Messire, un Sarrasin dans une chariotte du diable. C’est tout ferré, y a point de boeuf pour tirer.” (Les visiteurs)

Sarko et sa clique nous prennent pour des cons

lagarde.1197302446.jpgVoici que Monsieur Sarkozy et sa clique cherchent désespérément à augmenter les pouvoir d’achat des Français. Ou, pour le moins, disent qu’ils cherchent. Comme « les caisses sont vides », les voilà à la recherche d’expédients divers qui ne manquent pas de m’étonner. La raison de cet étonnement est toute simple: depuis mon enfance, on m’a appris que, sauf à battre fausse monnaie, l’argent ne se trouvait pas « sous le pas d’un cheval ». Qu’en conséquence, les mesures envisagées demandaient à être considérées avec circonspection.

Une solution consisterait à prendre aux riches pour donner aux pauvres et aux moins riches. Mais je n’ai pas l’impression que c’est cette méthode qui a été choisie. Nulle décision sur l’imposition des grandes fortunes. Pas de modification des droits de succession des gros héritages. On n’envisage pas la taxation des super bénéfices ou des très gras salaires ou des plus-values boursières. On aurait pu imaginer une baisse de quelques points de la TVA (encore que l’expérience montre que ce genre d’économie finit dans la poche des vendeurs). Pourquoi ne pas baisser la TIPP ? Tout le monde ou presque dépense des centaines d’euros en carburant, avec, toutefois, le même risque de voir les sommes concernées finir dans la poche de Total. Mais alors comment ?

Examinons un peu certaines mesures:

On espère que la grande distribution va baisser ses prix au motif d’une modification de la loi Galland. C’est être d’une naïveté absolue. On sait maintenant que la concurrence qu’on croyait régulateur du marché capitaliste, est, dans bien des cas, limitée par des ententes. Alors, il est vraisemblable que Leclerc ou Carrefour vanteront quelques produits d’appel. Pour le reste…

On propose que les heures supplémentaires soient exonérées de charges sociales et d’impôts. Une part de la masse salariale (qui n’est pas extensible) échapperont donc: qu’est-ce qui en pâtira: le budget de la Sécurité Sociale qu’il faudra donc renflouer d’autant et le budget de l’état qu’il faudra donc compenser par des hausses d’impôts par ailleurs. Et, de toute façon, toutes les entreprises n’ont pas besoin de faire effectuer des heures complémentaires par leurs salariés.

On en dira autant du « rachat » des heures de RTT. Les entreprises se sont organisées avec la loi sur les 35 heures. Elles ont recruté. Pour le coup, il n’est pas forcément nécessaire que les salariés fassent plus d’heures.
On propose également que les salariés puissent retirer sans pénalités l’argent placé au titre de l’intéressement. Or, on sait bien que ces magots sont fréquemment constitués pour la retraite: comment peut-on avoir deux discours contradictoires en incitant les Français à la constitution d’un capital pour leurs vieux jours, et, en même temps, favoriser le contraire pour des mesures conjoncturelles ?

Au final, voici un dispositif incantatoire, de l’ordre du gri-gri ou des amulettes. Si ceux qui nous gouvernent ne s’en rendent pas compte, c’est qu’ils sont franchement nuls. Ou alors c’est qu’ils nous prennent pour des cons. Et j’ai bien envie de pencher sur cette seconde hypothèse. L’ennui pour eux est que nous ne sommes pas aussi cons qu’ils l’espèrent et que tout cela finira par leur péter à la gueule.

On dira ce qu’on voudra du dernier gouvernement de gauche que nous ayons connus. Malgré ses défauts, je ne crois pas que Jospin nous ait jamais pris pour des cons !

Image: www.bonvote.com

Mais pourquoi France Télécom refuse-t-elle de communiquer ?

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Cela peut arriver sans qu’on en fasse forcément une maladie. Votre accès Internet tombe en panne. Même le fournisseur au nom d’agrume peut commettre une bévue. Ou des composants peuvent tomber en panne. C’est comme la fourniture d’électricité.

Il m’est arrivé, il n’y a pas si longtemps, de tomber en panne EDF. En triphasé, une des phases n’était pas alimentée. J’ai téléphoné au numéro porté sur ma facture. Je suis tombé sur une plate-forme. Ma réclamation a été prise en compte et transmise au service de dépannage local. Un peu plus de deux heures plus tard, un agent était sur place et faisait le nécessaire.

Quand je suis tombé en panne d’Internet, il en est allé tout autrement. Je suis tombé sur une plateforme située vraisemblablement au Maroc, vu l’accent de tous les opérateurs que j’ai pu y entendre. Là, ma réclamation n’a pas été prise en compte. Pas de numéro de « ticket » d’incident. Juste un opérateur peu compétent qui voulait absolument que je suive une procédure pour LiveBox, alors que j’ai un modem-routeur. D’ailleurs, cet appareil me renseignait parfaitement sur la nature de l’incident que j’étais capable de décrire en termes techniques à un interlocuteur qui n’en comprenait pas la moitié. J’ai eu l’impression d’avoir à faire à un gardien du temple dont la seule mission était de protéger je ne sais quoi ou je ne sais qui. La solution qu’il m’a donné n’était pas efficace. J’ai quand même effectué par acquis de conscience ce qu’il m’avait indiqué. Et cela m’a coûté 20 euros pour rien.

On pourrait alors avoir envie de téléphoner et re-téléphoner pour suivre l’avancement de son dossier. Mais cela coûte 0,33€ la minute. Cela n’a l’air de rien, mais c’est quand même 20 euros de l’heure. Sachant que le type est payé au lance-pierre dans un pays africain, je paye son salaire et davantage. Sachant qu’un appel, avec tout ce qu’on vous demande, redemande et re-redemande dure au moins 20 minutes, l’occupation peut finir par devenir très onéreuse.

Quand, au bout de 10 jours, vous constatez que rien ne change, il vous prend envie de saisir une instance. Alors on appelle le 1014, lequel est gratuit, et l’on tombe sur une autre plateforme. Là, selon la personne sur laquelle vous tombez, on prend plus ou moins soin de votre problème. Mais, de toute façon, les braves gens n’y peuvent rien. Et si vous demandez le numéro de fax ou de téléphone de la direction régionale dont vous dépendez pour introduire un recours, on vous répond froidement qu’il n’y a pas de téléphone, qu’il faut écrire, ce qui, avec la vitesse à laquelle le courrier est acheminé par la poste, puis ouvert, puis classé par les personnages qu’on imagine, ne risque pas de faire hâter votre réclamation. En clair, les seules personnes qui sont habilitées à m’écouter ne peuvent rien, mais rien de rien. Quant à celles qui détiennent l’information ou le savoir, on vous empêche de les joindre.

Mais le pire est encore à découvrir. Car mon petit doigt m’a informé. C’est que pendant tout ce temps, où vous avez dépensé vos euros, votre salive et votre patience à attendre des opérateurs pour lesquels le délai d’attente est de 3 (ou 5 ou 8 ou 10) qui vous interrogent et vous font répéter cent fois la même histoire, rien n’a été fait.

Mon petit doigt m’a dit que pour une panne survenue le 23 novembre et signalée le jour même, ce n’est que le 4 décembre qu’elle a fait l’objet d’un dossier (n° 45 17 792, selon mon petit doigt). Mais, il ne me sera pas possible de suivre l’évolution de mon dossier. Secret d’agrume m’oblige à attendre encore et encore.

Pourquoi est-ce que j’en veux à Sarkozy

sarkodoigt.1196942645.jpgPourquoi est-ce que j’en veux tant à Sarkozy, me demande un lecteur ?

Voilà une véritable question. Car il est vrai que cet homme déclenche chez moi une aversion comme aucun Président de la République n’en a provoqué. De Gaulle était ce qu’il était et, malgré tout ce qui pouvait être dit à son encontre, il avait son aura. Et puis, de Gaulle était cultivé. Qu’on ait aimé ou non le personnage, ses discours reflétaient une excellente connaissance de la langue française. Et ses écrits sont, s’il en fallait un autre, en sont également témoignage. Pompidou était aussi fort cultivé. On n’est pas impunément normalien et l’auteur d’une très belle anthologie de la langue française. Sans compter son érudition dans le domaine de l’art. Giscard n’était pas mal non plus. Quant à Mitterrand, il n’est pas besoin d’en donner des exemples. Comme Chirac. Sous ses côtés buveur de bière et mangeur de tète de veau.

Mais, pour Sarkozy, on ne voit pas poindre le moindre petit morceau. Il s’exprime bien, mais on s’aperçoit vite que son vocabulaire n’est pas très recherché. Et son goût pour l’exhibitionnisme « people », comme l’on dit, n’est pas le meilleur. Au passage, et c’est conséquence, la mise en avant de sa femme dans son premier ministère et tous les avatars qui ont suivi font plutôt théâtre de boulevard que Comédie Française.

Et puis, il lui manque de la « hauteur ». On s’attend à ce que le premier magistrat ne s’occupe pas des questions mineures (de minimis non curat praetor). Alors, son goût prononcé pour l’empathie et la consolation des victimes fait un peu bonnes oeuvres. Surtout qu’il ne se prive pas de s’approprier le mérite comme dans l’affaire dite des « infirmières bulgares ».

A cause de cela, et de bien d’autres choses encore, le personnage m’apparaît comme profondément démagogique. Je le sens aussi arriviste, âpre au gain et, pour tout dire vulgaire. Et comme personne n’a oublié qu’il est capable de trahir…

Fraude dans le train: l’exemple vient d’en haut

photolacroix02.1196688347.jpgCe matin, je voyageais dans un TER en compagnie de mon père âgé de 86 ans. Survint une brigade de contrôleurs qui contrôla et qui, à l’occasion de cette activité aligna nombre de voyageurs (au moins un sur deux n’était pas en règle). Et ce cher homme de se scandaliser de cette attitude incivile. Il me fallut lui faire remarquer que l’exemple de l’incivilité venait bien d’en haut: que les hommes politiques qui nous gouvernent et que les grands patrons qui nous asservissent et que la grande distribution qui nous pille notre porte monnaie, dans un nombre significatif de cas, ne montrent guère l’exemple. Il me semble donc bien malheureux de se scandaliser de la paille, comme dirait l’autre, alors que certaines poutres sont bien volumineuses.

Dans un monde où l’enrichissement sans cause, au détriment des emplois et de la société, devient si commun et relève du grand banditisme, il n’est guère légitime de s’offusquer du jeune un peu désargenté qui cherche à économiser les 10 euros de son billet de train.

La télé-réalité: appel au meurtre

Je lis avec consternation cet article du Monde daté de mardi 27 novembre concernant une émission de télé-réalité, en Espagne, qui a conduit à un meurtre. Une jeune femme a été invitée à participer à une émission au motif qu »un « proche » voulait lui faire une surprise. D’origine russe, cette personne a imaginé qu’il pouvait s’agir d’un membre de sa famille restée en Russie.Elle fut donc pour le moins étonnée de rencontrer son ex-fiancé qui l’avait tant maltraitée qu’elle avait été obligée de demander l’assistance de la justice pour obliger cet homme à se tenir loin d’elle. Le jeune homme avait trouvé ce subterfuge pour renouer avec elle et la demander en mariage.
Naturellement, elle refusa.
Quatre jours plus tard, il l’égorgeait.
Voici donc que la télé-réalité a atteint en Espagne le fond du trou de merde à faire de l’argent à tout prix même au prix de la vie de ses acteurs. La chaîne de télévision a beau arguer du fait qu’elle aurait pris toutes les précautions, comme s’il était possible à ces apprentis sorciers imbéciles de sonder une personnalité. Voilà des gens qui jouent à monter des spectacles qui relèvent du psychodrame sans la moindre réserve déontologique.
Dans le même article, on cite un autre cas d’une dame qui avait raconté devant les caméras les décennies de violences que son mari, âgé de 60 ans, dont elle était séparée, lui avait fait subir. Une semaine plus tard, ce dernier l’arrosa d’essence et la fit brûler vive !

Nausée…

Au secours ! Internet en panne (suite)

eick_internet.1196236955.gifJ’attendais donc un appel téléphonique ce mardi à 15 heures comme annoncé.Il ne vint pas à 15 heures, mais à 15H35. Ne soyons pas mesquins. Au bout du fil un type qui ne me demande pas mon numéro de client, ni mon adresse, ni les mensurations de ma soeur. C’est déjà de bon augure. On me fait toutefois raconter pour la nième fois les symptômes. J’ai l’impression que l’appelant y connaît quelque chose. Après quelques vérifications, il m’annonce que c’est le serveur d’agrume qui, effectivement, présenterait un défaut auquel il envisage de remédier.Jubilation interne; enfin après de longues minutes payantes, on s’apprête à rechercher effectivement les causes du côté des installations du provider et à y mettre bon ordre.
Reste la question à 100 balles, concernant les délais. Après quatre jours d’attente, j’espérais… Eh bien non. Encore un jour ou peut-être même deux.
Mon ostéopathe me trouvait tout coincé ce matin. Puis, dans la conversation, je me trouve à lui dire que j’ai fait deux crises de tachycardie dimanche. Il me dit que tout cela ne l’étonne pas tant je semble stressé. Cette panne d’Internet, non bloquante, mais agaçante, doit y être pour quelque chose.
Nous allons voir si le délai est effectivement tenu. Car, pour ce type d’incident, six jours c’est peu de choses comparé aux autres Free et Alice qui, me dit-on, pas seulement pour me consoler, auraient bien passé trois ou quatre semaines sur cette affaire.w.blog-fillon.com

Sans Internet, c’est la dèche

dslam-eci2.1196238202.gifUne panne n’est jamais qu’une panne. Et pourtant, à l’occasion de cette interruption de service d’Internet, je prends conscience de la part que ce moyen de communication et d’échange a pris dans ma vie en quelques années. Le nombre de recours quotidiens à ces services est vraiment très important.
Bien sûr, il y a la messagerie qui tourne en tâche de fond du travail. Elle économise beaucoup de coups de téléphone. Et elle possède une qualité certaine: elle n’est pas intrusive. J’envoie mes messages quand je veux. Mon correspondant lit les messages quand il le veut. Et rien qu’au titre, il a une idée de l’urgence qu’il veut bien accorder à chacun d’entre eux. C’en est presque fini des téléphones qui sonnent à des moments intempestifs, au cours des repas, pendant la sieste, quand on est sous la douche ou aux toilettes, pendant une bonne sieste améliorée. Car enfin, on a beau demander si on dérange, il y a peu d’interlocuteurs capables de dire franchement « oui ». Et de toute façon, à partir du moment où il a décroché, on l’a déjà dérangé.
Il faut dire aussi un mot de la communication immédiate. J’ai été franchement dubitatif en voyant mes filles bavarder par écrit avec MSN dans un langage peu châtié et peu orthographier. Et voilà que, empêché de me rendre à l’université en raison des grèves de ces jours derniers, voilà donc que je me suis mis à substituer aux travaux dirigés que je ne pouvais faire, des échanges sur Internet avec msn. Je ne suis pas totalement satisfait. Une vidéo-conférence aurait sans doute été plus pertinente. On tentera de faire mieux la prochaine voix, même si la bande passante n’est pas très grande.
Il y a aussi l’aspect documentaire que représente le web. Et l’habitude se prend vite de confier quelques mots à Google ou à Wikipedia. A moi de faire le tri, évidemment. Mais il est de toute façon déjà tant de cas où il ne s’agit que de vérifier une information ou une connaissance. Ceci veut dire que les enseignants que nous sommes auront de moins en moins besoin de fournir des sources et des références. Mais nous devrons, en contrepartie contribuer à façonner l’esprit critique pour valider ou invalider les sources. Ne nous en offusquons pas. Cette démarche est déjà nécessaire avec les ouvrages, entre les prosélytes, les vulgarisateurs et les auteurs d’articles vraiment scientifique. Et, ma foi, apprendre ce que sont les conditions d’un raisonnement scientifique, c’est déjà une belle et grande activité de formation.

Les requins qui pompent la richesse du monde

plein_or.1196088432.jpgJe lis dans le journal Le Monde d’hier ou avant-hier que l’augmentation du prix du baril de pétrole est largement due aux mouvements des fonds de placement spéculatifs. La pénurie y est, bien sûr pour quelque chose. Mais pas autant qu’on le dit. Il est écrit que certaines parts de ces fonds qui proviennent de titres fondés sur le pétrole ont vu leur valeur doublée en quelques semaines.
Voilà qui est totalement et parfaitement immoral. Tout le monde sait bien que les plus grandes victimes du renchérissement de l’énergie, au bout du compte, seront les familles les plus modestes qui devront peut-être devoir choisir entre se chauffer ou se nourrir.
Toute cette richesse est confisquée. Confisquée aux pauvres des pays riches parce qu’ils vont payer l’énergie plus cher. Confisquée aux pays pauvres parce qu’ils ne pourront pas tirer un juste revenu de leurs richesses naturelles.
speculateurs.1196088620.jpg Dans l’économie libérale et capitaliste, la Bourse était à l’origine un moyen offert aux entrepreneurs et aux industriels de trouver des financements pour développer la production et, par voie de conséquence, l’emploi. Aujourd’hui, les choses ne sont plus ainsi. D’abord, les actionnaires demandent des rémunérations de plus en plus élevées. Ceci leur est facilement alloué par les directions qui sont grassement payées pour cela et les membres des conseils d’administration qui touchent de confortables jetons de présence. Le projet industriel importe de moins en moins face à la recherche du profit maximum obtenu le plus rapidement possible.
Les speculateurs sont devenus des institutions comme les fonds de pension américains. Pour eux, le projet industriel ne compte pas. La seule chose qui les intéresse est la valeur du dividende, ou, mieux encore, revendre aujourd’hui beaucoup plus cher qu’on a acheté hier. C’est le type même de l’outrageux enrichissement sans cause qui pompe dans les économies nationales et dans l’économie internationale.
>Ajoutons à cela la corruption qui ne con,cerne pas que les pays du tiers-monde, loin s’en faut, et l’on pourra toujours faire des incantations pour l’aide au tiers monde et aux plus démunis.

Notes d’économie politique 10 – 26 novembre 2007