Archive dans 28 octobre 2018

Les « sachants », dangereuse épidémie

La radio en est infestée et la télé pas mal aussi. Dès qu’il se passe quelque chose, les journalistes, au lieu de faire leur travail de journaliste et raconter les faits, font parler un «sachant». Au fond, pourquoi pas. Mais interviewer une personne compétente.
Va, évidemment pour un chercheur au CNRS ou un prof de fac ou à Sciences Po. Mais il arrive, et ce n’est pas si rare, que le « sachant » est souvent quelqu’un qui a écrit un livre. Avoir écrit un livre, voilà merveille. Et comme les livres sont, au fond, sélectionnés par les éditeurs qui espèrent vendre, ces derniers deviennent «sachants».
Ce phénomène affecte souvent les Sciences Humaines. Par exemple, on fait parler monsieur Machin ou madame Chose, psychologue, qui a écrit un livre truffé d’impressions, d’âneries ou, dans le meilleur des cas, de banalités. Des fois, on tombe bien, mais des fois…
Il faut le savoir et le répéter: La Science nait et vit dans les revues scientifiques ayant un comité de lecture.

1401, -28/10/2018

(Re) nationaliser les EPHAD ! … Pour la bonne bouffe !!!

En France, ce qu’on a coutume de nommer « Maison de Retraite »est un EPHAD: « Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Ces établissements reçoivent toutes sortes de pathologies, y compris l’inquiétante maladie d’Alzheimer.
Souvent , les malades sont là, dans l’entrée. C’est leurs seule distraction de la journée. Le temple de l’ennui pour nombre d’entre eux. Quelques uns échangent quelques paroles. Quelques uns, pas beaucoup. D’autres sont dans leurs lits et regardent la télévision. D’autres vivent en couple dans de petits appartements.
Les distractions: les passages du personnel soignant, passages de plus en plus rares pour la toilette et les repas. Bienheureux ceux qui sont en couples ! Qui peuvent, peut-être, échanger quelques mots. Bien sûr, on leur organise quelques « activités », chant, jeux, cinéma,…

Évidemment quand ils ne souffrent pas, ils s’ennuient…
Et pour sûr, ce serait bien si la restauration était un peut attrayante. Pour certains, les plaisirs de la table restent les derniers. Dans tous les cas, le crédit affecté aux produits alimentaires est de quelques euros par jour. Malgré tous les résultats de consultations auprès de grossistes. Alors, même pas moyen d’offrir une très belle entrecôte. Pas même le moyen d’offrir une belle tranche de foie gras à Noël.Les assiettes sont lamentables: tranche de « bloc » de foie, bribes de gelée. Poisson pané, steak haché, médiocrité des produits dissimulée sous des sauces au nom ronflant. Et même si la vaisselle est un peu attrayante le contenu reste médiocre. Certains résidents sont peu exigeants car ils ont toujours vécu sous le régime, d’autres sont franchement attristés par une cuisine de cantine pendant que les premiers feraient connaissance avec des mets inattendus pour eux.
Comme une journée pourrait être embellie  par l’attente d’un bon diner ou d’un bon déjeuner.
Les économies sur ce qui pourrait être bons repas filent dans la poche des actionnaires sous forme de dividendes.
Pourquoi ne pas nationaliser pour que nos anciens mangent des trucs sympas: du bon bœuf ! du jambon de Parme ! Des légumes de la ferme ! Des bons fromages et des bons fruits ! Et le café servi dans une tasse en porcelaine comme au CHU d’Amiens !
Même les vieux servent à faire du fric !

1400 – 13/10/2018

 

Ce site écrit peu. Pourquoi ?

Eh oui ! J’écris peu depuis que je me suis tapé une camionnette dans le dos.

Après enquête, j’ai été victime d’un attentat fomenté par tous mes ennemis que je dénonce ici:

CIA: 29,7 %
Services russes :37%
y compris les services à thé (4,5 %)
Services français:36,5%
MI5 et MI6: 14%
Services Chinois: 6%
Services de table: 13,3%

L’attentat  a pris la forme d’une incapacité d’un conducteur à effectuer un démarrage en côte dans la plaisante commune du Conquet après un déjeuner de crêpes au vomi qui devait cacher une transaction entre la CIA et les service russes dont le KGB que je devais couvrir. Un certain nombre d’agents de plusieurs nationalités tentaient de l’empêcher. Je n’y ai pas trouvé la mort car l’agent français fut frappé de diarrhée verte qui coula dans ses basques et l’agent chinois fut mordu par un chien.

Pour l’heure je suis le seul à posséder du tout et disposé à le vendre. Pour ne pas se faire remarquer, prix est fixé en escort-girls. Nombre, tour de taille, poitrine, lieu d’activité à discuter. Les Services Chinois qui n’ont rien à faire dans cette affaire car ils possèdent déjà tout les documents ont accepté de s’occuper de la tractation, pour 16,5 escorts noires. Ils sont prêts à le faire gratuitement moyennant les couilles de Trump.

1399 -09/10/2018

 

 

Far, pruneaux et définition vomitoire

Les nausées et vomissementsUn site répugnant destiné aux cruciverbistes prose la définition suivante du mot « far » : Il reçoit des pruneaux en Bretagne ».
https://cruciverbe.fr/definitions/il-recoit-des-pruneaux-en-bretagne
A l’instant, mon cœur s’est soulevé.
Avant toute chose. Serait-ce à dire qu’on met des pruneaux dans le far breton et point ailleurs ? Qu’il existerait un far d’ailleurs ? Du far vendéen ? Du far alsacien ? Et pourquoi pas du far chinois, arabe, russe, ouzbek, bantou ? Quelle douloureuse épreuve !

1398 08/10/2010