Sarkozy, te voilà,
Car c’est toi le sauveur de la France.
Nous jurons, devant toi
De servir et de suivre tes pas.
Sarkozy, te voilà
Tu nous redonnes enfin l’espérance
La patrie renaitra
Sarkozy, Sarkozy, te voilà
1076 – 19/09/2014
Sarkozy, te voilà,
Car c’est toi le sauveur de la France.
Nous jurons, devant toi
De servir et de suivre tes pas.
Sarkozy, te voilà
Tu nous redonnes enfin l’espérance
La patrie renaitra
Sarkozy, Sarkozy, te voilà
1076 – 19/09/2014
Valls voudrait que tous députés votent en faveur de sa déclaration de politique générale. A quoi sert alors d’avoir plusieurs députés socialistes. Un seul suffirait et cela coûterait beaucoup moins cher.
Ainsi vouloir faire voter, c’est croire ou faire croire qu’il n’y a qu’une politique possible. La sienne. Sur quelles études s’appuie-t-il ? On ne sait. Sur quelle théorie économique ? Il n’en sait rien lui-même. L’a-t-on vu, ne serait-ce qu’une seule fois prendre la peine de débattre de toute politique keynésienne, punique celle qu’il propose en est à l’opposé ? Comme un grand nombre de politiques, la majorité, je le crains, Valls est ignorant de l’économie. Il n’y a qu’une seule politique, déclare-t-il : celle-là. Pourquoi ? Qu’il le démontre ? Sûrement, il ne sait pas pourquoi.
Il est là, il sera là, à doser les mesures, les demi-mesures, les quart de mesures dans un empilement législatif et réglementaire foutraque. Il veut « redresser le pays ». Quelle formule ! Je prédis un futur bordélissime, sans autre visée générale que les rumeurs ou les sondages du moment, et pourvu que cela lui donne quelque chance d’être un jour président. Tout cela, en essayant de faire bouger une économie libérale que l’état a renoncé à diriger tout en cachant que la dette augmente pendant que les revenus de l’état baissent, faute d’activité.
Valls ne semble pas s’inquiéter que les écologistes et le parti de gauche aient quitté son bateau.
Mais pour les socialistes, il ne veut voir qu’une seule tête. Comme si l’unanimité faisait fonction de projet pertinent pour le sujet.
L’autre jour, sans rire, je l’ai entendu, je ne sais plus où. Sa voix était sèche et saccadée. Sans rire, je me suis mis à penser qu’il parlait comme Adolf. Sans rire, c’est ce qui m’est venu à l’esprit…
Notes d’économie politique n°93
1075 – 09/09/2014
« Mesdames, Messieurs les journalistes, je vais commencer par répondre à la question que vous ne m’avez pas encore posée, mais qui vous brûle les lèvres.
Dans votre vie d’homme ou de femme, il vous est sans doute arrivé d’être délaissé par votre compagne ou votre compagnon, par votre femme ou votre époux, et que vous en ressentiez quelque amertume, voire quelque douleur. Il vous est peut-être arrivé de ressentir, à tort ou à raison, une grande injustice et alors, de vouloir vous venger de quelque façon.
Malheureusement pour vous, vous n’êtes pas le conjoint du Président de la République ou d’un haut personnage de l’état. Pour le coup, aucun éditeur ne voudra du manuscrit sulfureux que vous préparez, qu’il contienne des choses exactes ou inexactes, mais surtout bien vaches. Le peuple et les élus de tout bord font mine de… Mais, en vérité, tous les lecteurs attendent de croustillants détails. Et, au mieux, vous aurez un petit tirage, vite relégué, voire passé au pilon. Vous pourrez attaquer en diffamation, ce qui vous fera dépenser que les maigres droits d’auteurs que vous pourriez espérer.
Mais vendre 200 mille exemplaires, voire 300 mille, voire 500, qui sait, avec les droits d’auteur, les droits pour les ventes à l’étranger… Même s’ils n’étaient que de 10%, quel pactole ! Et comme le Président de la République ne poursuit pas en diffamation, car « de minimis non curat praetor », c’est tout bénéfice. ‘
Voilà ce que Chamallow aurait pu dire au lieu de s’enfilocher et de s’embourber dans le mélo-mélo que personne n’a cru. Pauvre de nous et rigolade mondiale. Je vais quand même me précipiter pour acheter ce livre, espérant quelques détails salaces, voire cochons.
Et, au fait, il a encore plus de verrues sur la figure. Je ne comprends pas ce qu’elles lui trouvent…
1074 – 05/09/2014
Je l’avais bien dit que Trierweiler était une peau. Ceci étant, tout le monde va faire la fine bouche par devant et se faire acheter le livre par derrière et regrettera qu’il n’y ait rien sur les séances de baise.
Mais ce livre a, au moins, la qualité de nous renseigner sur le caractère du Chamallow. Et, pour ce qui transpire, car je n’ai pas eu la chance de lire le livre qui n’était pas en première ligne au Leclerc que j’ai visité, il serait bien touille-touille comme je l’avais prédit.
A quand l’édition du Coup de Grâce ou les Mémoires de Ségolène, Valérie, Julie et les autres…
1073 – 04/09/2014