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France-Info décorée de l’Ordre de Guémené

France-Info est décorée de l’Ordre de Guémené pour avoir, pendant les mois de juillet et août 2011, infligé un certain nombre de chroniques d’un intérêt nul, sinon archi-nul. On retiendra :
Jean Zeid (C’est pas du jeu) qui nous raconte l’histoire du jeu vidéo. Ce dont personne n’a à foutre. Les plus jeunes déclarent que ces vieux jeux sont de la merde de tamanoir. Quant au moins jeunes, ils s’en fichent comme de leur première chemise, comme si un Pacman foireux sur disquette pouvait avoir influé sur leur vie.
Hind Meddeb (Culture d’été). Voilà un exemple parfait de journaliste pour laquelle la question est plus importante que la réponse. D’ailleurs la réponse est contenue dans la longue, très longue question qui ne manque pas d’inclure quelques bons lieux communs. A renvoyer à l’école de journalisme.
Hélène Lam Trong et Lucie Montchovi (L’été de mes 30 ans). La chronique la plus nulle. Un ramassis d’idées superficielles ou toutes faites ou de lieux communs écrits sur un coin de table. Pas d’enquête (même pas Wikipedia !). A renvoyer apprendre le métier.
Philippe Vandel (Les pourquoi). Philippe Vandel nous avait habitué à mieux.
Et toujours…
L’inénarable Marie Odile Monchicourt (Histoire d’hommes) qui reçoit l’Ordre de Guéméné avec la mention « neu-neu ».
Laurent Mariotte (A toutes saveurs). Le faire valoir des restos qui font toujours avec les produits du marché ou du jardin avec des herbes cueillies le matin. Comme s’il y avait des clients pour y croire.
Par contre, deux chroniques méritent compliments et échapperont à la décoration infamante:
Bertand Dicale (Ces chansons qui ont tout changé) : Un très bon travail de journaliste. Documentation, recherche. Le contraire de L’été de mes 30 ans.
Jacques Expert (Histoire criminelles) : sujets variés, bonne documentation. Le contraire de L’été de mes 30 ans.

Tout savoir sur L’Ordre de Guémené

Il n’y a pas plus d’andouilles à Guémené qu’ailleurs. Mais il y a plein d’andouilles qui ne sont pas à Guémené.
Visitez Guémené

Les gouvernants : sauver les marchés, pas les peuples !

Voilà que les présidents et les premiers ministres interrompent leurs vacances pour prendre des décisions, ou faire croire qu’ils en prennent, et, de toute façon faire des déclarations. Ces déclarations on pour but de « rassurer les marchés ». Pauvres petits marchés malades qui crèvent de peur et mouillent leur culotte de peur que les états ne leur remboursent pas toutes leurs dettes. C’est la crise du « je te prête, tu me prêtes, par la barbichette ».
Mais qu’on fait tous ces gouvernements du montant de tous ces emprunts ?
Ont-ils développé le commerce, l’artisanat, l’industrie ?
Ont-ils véritablement mis en œuvre une politique d’économie d’énergie et de développement des énergies alternatives ?
Ont-ils empêché les fermetures d’entreprises ?
Ont-ils fait diminuer le nombre de chômeurs ?
Ont-ils fait reculer la pauvreté ? Ont-ils construits plus de logements HLM ?
Point.
Et maintenant, les voici en train de faire la danse du ventre devant les marchés, en expliquant que le peuple qui n’avait bénéficié en aucune façon de l’augmentation du déficit allait devoir subir l’austérité.

Mais voici que les peuples commencent à se rebiffer : les manifestations des « indignés » d’Athènes et de Madrid ne sont que lessignes avant-coureurs de manifestations violentes comme en Grande Bretagne ces jours-ci

Voilà des années que le monde libéral ne fait rien

En France, le libéralisme d’après guerre a débuté dès le départ du Général de Gaulle. Avec Pompidou, la banque et la finance se sont vues ouvrir les portes de l’état. En Occident, nombre de pays y étaient venus plus tôt, d’autres y viendront plus tard. Dans certains cas, il accompagnera la chute des dictatures (colonels, Franco, Salazar). On peut même affirmer que, sans la complicité des banques et de la finance, ces révolutions ne se seraient pas produites. Une certaine dose de nationalisme et de direction de l’économie a toujours prospéré dans les régimes totalitaires. En raison de leur complicités et de la scandaleuses injustice dans la répartition des fruits du travail, ces régimes n’ont cependant jamais été capables de mettre en place une économie de prospérité et de consommation populaire aussi bien en Europe de l’Est qu’en Espagne ou au Portugal.
Lorsque les dictatures ont été balayées, les peuples se sont rués sur la consommation selon le modèle américano-européen : économie de marché, libre échange, constitution de groupes capitalistes dominants.
Les pays qui se sont ralliés plus tard à la démocratie, notamment en Amérique du Sud, après avoir combattu les multinationales nord-américaines, se sont aussitôt ralliés à l’économie de marché. Ces pays sont devenus prospères, au sens du FMI, sans pour autant, comme partout ailleurs, avoir éradiqué la pauvreté et le chômage.
En même temps, les pays non démocratiques se plaçaient en position de concurrence, notamment en matière de coût de main d’œuvre. La totalité de la richesse profitait à quelques groupes ou à quelques clans avec la complicité des multinationales qui pratiquaient quasi ouvertement la corruption. Si possible, on maintenait le peuple dans la soumission et la pauvreté. Au pire, on laissait se développer une bourgeoisie qui s’enrichissait de façon importante et qui ne constituait évidemment pas un risque pour les pouvoirs en place.
Quand cette structure (pouvoir fort, complicité d’une classe sociale bénéficiaire, complicité avec les multinationales) impactait la Côte d’Ivoire, il n’y avait guère de conséquence pour l’économie mondiale. Quand il s’est agi de la Chine, ce n’était plus la même chose.
Dans le monde libéral, la libre concurrence dont on disait religieusement qu’elle était un facteur de développement, s’établit partout. Entre entreprises, entre régions, entre pays. Ceux qui avaient la main d’œuvre la moins chère produisaient à bas prix des biens de consommation qu’achetaient les futurs chômeurs des pays où la main d’œuvre était plus coûteuse, au plus grand bénéfice des organismes qui étaient à la manœuvre, c’est-à-dire les sociétés financières, les banques, les multinationales. En même temps, pour maintenir un bon niveau de rémunération des actionnaires, il devenait nécessaire, paradoxalement, de supprimer la concurrence, pour se retrouver à deux ou trois pour pratiquer des ententes, avec le massacre social que l’on sait.
Naturellement, les gouvernements qui sont parfois composés de personnes compétentes, ont vite pris la mesure des inconvénients pour le tissu industriel et la politique sociale. Il était devenu indispensable de réglementer. On fit alors des groupes, G7, G8, G20, etc.. Les montagnes ont accouché de vers de terre. On n’a pratiquement rien réglementé. On a laissé le prix de l’énergie aller et venir sous l’effet de la spéculation. On a laissé faire toutes les délocalisations. Pire encore, on a laissé commercer avec la Chine, notamment, dont la monnaie est étonnamment sous évaluée.
On a laissé des banques jouer à toutes sortes de jeux raffinés et malhonnêtes au lieu de diriger les investissements vers des projets industriels productif. On a privatisé à tout va le peu qui était encore la propriété des états, avec les résultats que l’on sait et dont la Grande Bretagne fut l’exemple le plus imbécile.
Voilà que les chinois sont en train de mettre au point des milliers de robots pour fabriquer des produits électroniques actuellement fabriqués (un peu) par des humains.

Au nom de principes stupides (libre concurrence, économie de marché, mondialisation) mis en œuvre et développés par esprit de système l’économie mondiale est au fond du trou. Et pour faire bonnes mesure, ce sont les banques sauvées par les états au moment de la crise conséquence des « subprimes », qui s’en prennent aujourd’hui aux dettes des états

Notes d’Économie Politique N° 59 – 10 août 2011

La richesse mondiale aux mains des joueurs de roulette russe

Autrefois, au temps des parités fixes, on dévaluait dans la nuit du dimanche au lundi. A l’ouverture de la bourse, la monnaie avait perdu un certain pourcentage de sa valeur. Les prêteurs s’étaient fait baiser. Ce n’était pas très honnête. C’était comme ça.
Aussi, avait-on inventé des emprunts dont la valeur était indexée sur l’or. Les états perdaient la main puisque indexation sur un critère indépendant. Du coup, les créanciers se firent des pudenda in aurum.
Le libéralisme a laissé le soin d’établir les cotes aux « marchés ». Que sont les marchés ? Une bande d’hystériques infantiles qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qui étaient absents le jour de la distribution des cerveaux rationnels. Quand les choses ne vont pas trop bien, ils ne serrent pas les fesses. Ils pissent et chient de peur la diarrhée verte sous la conduite de quelques gourous autoproclamés experts.
Comme les états ont abandonné tout pouvoir sur ce sujet, ils n’ont plus qu’à renter dans les épaules leurs têtes inondées de pisse et de diarrhée verte.
Et, pendant ce temps-là, quelques plus malins que les autres, spéculent à la hausse ou à la baisse selon le sens du courant et se les font encore in aurum tout en dépossédant les citoyens les plus pauvres de leur dernier morceau de pain.
C’est amoral. C’est odieux. Et tous les chefs d’état du monde se lamentent impuissants en faisant de grands gestes inutiles.

Capitalisme. Libéralisme. La fin ?

Il semble bien que les gouvernants soient à l’affût des nouvelles boursières et des communiqués agences de notation. Or les bourses baissent et les agences baissent leurs notes. Mais qui pourrait affirmer que les bourses soient un bon baromètre des économies ? Personne. Et les exemples anciens montrent bien que les spéculateurs sont d’une versatilité qui n’a d’égale que leur appât du gain. Qui pourrait affirmer que les agences de notation disposent des instruments de mesure fiables et certifiés des économies des chaque pays ? Personne. Ces agences fluctuent selon des critères abscons et dont les qualités métriques sont évidemment contestables.
L’émotion prime sur la raison. Personne ne sait plus où cela conduira. Les états prennent des mesures à tout va dont la principale caractéristique consiste à emprunter davantage et pour plus longtemps. Demain, on rasera évidemment gratis, car les états ont fait trop de dettes et ne pourront rembourser sauf en générant d’autres dettes. Ceci s’appelle de la « cavalerie ». Madoff gouverne le monde !
Et tout un chacun fait semblant d’y croire. Notamment les organismes financiers contraints de prêter davantage pour espérer un jour retrouver une partie de la mise antérieure. Après avoir joué à la roulette russe en se vendant et se revendant des titres sans valeur sur les marchés privés, les banques continuent avec des valeurs du marché public. Ont-elles le moyen de faire autrement ? Probablement pas. Tout état en cessation de paiement cesserait de rembourser aux banques ce qu’il a emprunté à ces mêmes banques. Lesquelles banques, au passage, continuent à faire des profits, à rémunérer ses actionnaires, à payer grassement leurs dirigeants et leurs tenanciers des tables de jeux mondiaux.
Tout cela est donc fictif, bidon, et la véritables mission des banques qui devrait être d’apporter des crédits pour soutenir des projets industriels et commerciaux destinés, entre autre, à générer des emplois, est complètement négligée. Le monde est devenu un immense poker menteur. Mais ce ne seront pas les joueurs qui perdront. Les pertes se concrétiseront sous forme de « rigueur », i.e. baisse du pouvoir d’achat, chômage, catastrophes sociales. Pendant ce temps, les travailleurs ne peuvent que contempler ce bordel mondial, l’angoisse de la perte de l’emploi au ventre. Ils perdront beaucoup. Les banques et les capitalistes, un peu.
Il se peut que le système se plante complètement. Lors les banques et les capitalistes perdront davantage (sauf les lingots d’or et les diamants planqués dans les slips). Les travailleurs perdront tout. « Circulez », dira-t-on, « il n’y a pas de travail. Allez vous inscrire au chômage ! ». Et les états, histoire de distribuer des allocations minables, emprunteront encore et encore. La course au profit effrénée aura conduit au naufrage, en dévastant, au passage, la planète qui ne se relèvera peut-être pas de ce foutoir.
En ce mois d’août 2011, il est évident que le modèle capitaliste libéral est au bout du rouleau et proche de l’agonie, alors que, pendant des décennies et des décennies, une minorité d’individus se sera goinfrée d’enrichissement sans cause. Il est peut-être temps de lire ou relire Marx… et quelques autres.
On dit que de tels désordres trouvent leur issue dans une bonne guerre. Délicieuse perspective.
Par l’élection (peut-être), par la révolution (plus probablement), les peuples doivent donc prendre la main sur leur destin.
Seul le modèle coopératif se présente alors comme une petite chance de salut.
Notes d’économie politique 58 – 5 août 2011

Post pour l’anonyme

Monsieur (ou madame) l’anonyme qui postez des commentaires peu flatteurs, je tiens à vous dire ceci :

Poster des commentaires sur les contenus des articles est légitime et, même souhaitable. Le débat d’idées est l’honneur de la démocratie.
Mais il n’est pas correct de poster des attaques ad hominem en se cachant derrière l’anonymat. C’est très lâche et ceci ôte toute valeur à ce que vous écrivez. Le système me fournit votre adresse de messagerie, mais vous trichez en donnant de fausses adresses. Sachez que je reçois aussi votre adresse IP dont il est possible d’en faire usage.

Pour l’heure, tant que vous n’aurez pas retiré votre masque, vos commentaires seront systématiquement supprimés

L’encadrement militaire des délinquants comme alternative à la prison

Cette solution est une alternative à l’impunité, qui conduit à la récidive, mais aussi une alternative à l’incarcération car les prisons surchargées aggravent la délinquance. Il existe une action de la Défense nationale, intitulée « Défense 2éme chance », constituée de 21 Etablissements Publics d’Insertion de la Défense accueillent en effet actuellement des jeunes volontaires, âgés de 18 à 25 ans, sans qualification et en difficulté scolaire.
– une remise à niveau des fondamentaux scolaires,
– retrouver des repères par une formation civique et comportementale structurante,
– une préformation professionnelle.

Ségolène Royal propose que ce savoir-faire de la Défense nationale soit mobilisé et au besoin complété pour offrir une solution nouvelle et remettre ainsi les mineurs délinquants sur de bons rails : « Il faut une remise à niveau scolaire, l’apprentissage d’un métier, le permis de conduire, les règles du vivre ensemble, les droits et devoirs dans une République et la participation à des chantiers humanitaires ». a- t-elle précisé

Références:
Makarenko, l’éducation, l’intérêt, le devoir, la collectivité
Adolescence et délinquance: parlons un peu d’A.S. Makarenko
L’oeuvre d’A.S. Makarenko
Centres Défense deuxième chance

La recette authentique du far breton

Préambule :

Un certain nombre de personnes ou de sites présentent, sous le nom de far breton, une espèce de clafoutis vaseux qui n’a rien à voir avec l’authenticité. La recette que je dévoile, ci-dessous, m’a été transmise par ma grand-mère qui la tenait, elle-même, de ses ancêtres. Ce far breton était consommé le vendredi soir. Tous les autres soirs de la semaine, on servait du kig ha fars avec, en guise de kig, un grosse tranche de lard bien gras. Mais le vendredi, on faisait maigre. Donc, point de kig. On servait alors le far. C’est ainsi que ma grand-mère à qui le gras très gras du lard donnait des hauts le cœur, attendait le vendredi avec plaisir.

Nous dirons donc que la recette du far que je vais présenter est celle du far du vendredi.

Des créatures pustuleuses ont inventé un far vomitoire pour touriste, le clafoutis merdeux, dans lequel ils mettent des pruneaux (comme s’il y avait des pruneaux en Bretagne !) ou des raisins (comme s’il y avait des raisins en Bretagne !) ou de la vanille (comme s’il y avait de la vanille en Bretagne !) ou du rhum (comme s’il y avait du rhum en Bretagne !). La recette présentée sur Marmiton.org cumule ces quatre hérésies. Je propose donc de faire un autodafé de cette page Internet.

Pour faire un vrai far breton pour 4 à 6 personnes, selon gourmandise, il faut :
– 250 grammes de farine ordinaire type 45
– 150 grammes de sucre en poudre (130 grammes vont très bien si l’on aime pas le très sucré comme c’est la mode de nos jours.
– 4 œufs (5 s’ils sont petits)
– 1 litre de lait (entier de préférence)
– du beurre demi-sel (quantité variable selon la taille de la « case »)

 On mettra en route le four à 250 degrés.

On fera chauffer le lait pendant qu’on prépare la pâte, jusqu’à ébullition.

Dans un saladier on mélangera la farine et le sucre. On fera un puits dans lequel on mettra les œufs. On mélangera le tout progressivement jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène.

On préparera la « case » dans laquelle cuira le far. On choisira un plat épais (moule à tartes à rejeter). Le meilleur choix est le plat en fer émaillé datant d’autrefois (il n’en reste plus qu’un et c’est moi qui l’ai). Le plat en terre va très bien. Le plat en verre aussi, mais c’est vraiment le dernier choix. La case sera beurrée à gogo. Vraiment à gogo.

Lorsque le lait sera bouillant, on le versera progressivement dans le saladier contenant la pâte en délayant soigneusement pour qu’il n’y ait point de grumeaux. Ne pas rejeter la peau du lait. On pourra verser de plus en plus vite, au fur et à mesure que la pâte sera délayée. On doit obtenir quelque chose qui ressemble à une pâte à crêpe plus liquide que la normale.

Ensuite, et dans la foulée :
– On versera la pâte dans la case.
– On pourra mettre encore quelques petits morceaux de beurre flottants.
– On enfournera la case dans le four brûlant (c’est capital), chauffage normal haut et bas.

Le far du vendredi pendant la cuisson

Le temps de cuisson est variable selon le type de four. La cuisson doit produire quelques montagnes qui disparaîtront à la sortie. Elle sera pratiquement terminée quand le four dégagera l’odeur caractéristique du far en train de dorer. Ce sera le moment de rectifier la hauteur de la grille dans le four, ou de passer sur gril seul pour dorer la surface si elle ne l’est pas assez. On peut aller jusqu’à une couleur foncée, mais non brûlée.

On mangera le far tiède, avec les doigts. On peut le tiédir au four avant de servir.

……………………

Le lendemain, on découpera les restes de far (s’il n’en reste pas c’est qu’on n’en a pas fait assez) en petits carrés ou rectangles qu’on fera frire doucement à la poêle dans du beurre demi-sel. On fera une petite pluie de sucre en poudre qui caramélisera un peu, ajoutant un petit presque croquant délicieux.Sur le plan diététique, on conseille de servir le far au dîner précédé exclusivement d’une salade. Quant aux petits morceaux poêlés du lendemain, on espère pour la santé des consommateurs qu’il n’y en aura pas trop.

Chiens dangereux et maîtres cons

Samedi 16 juillet, un Bull-terrier a mordu au visage et défiguré pour la vie, une petite fille de 4 ans au cours d’une fête entre amis. Joyeuse fêtes. Faut-il être con !
Les propriétaires du chien se retournent contre le refuge où ils avaient adopté le chien, car un an auparavant, il aurait bouffé le cadavre de son maître ! Tout le monde sait que ces chiens sont dangereux. Alors, on croit rêver ! Personne n’a forcé ces gens à choisir un Bull-terrier plutôt qu’un paisible Labrador. Et même un Labrador pourrait exceptionnellement devenir dangereux.
Il parait qu’on n’a pas encore euthanasié le chien. J’ai bien envie de proposer qu’on euthanasie aussi le propriétaire. Si j’avais été le père de la petite fille, ce serait déjà fait.