Hollande pique deux ou trois idées à Mélenchon. Pour le reste, malgré les harangues enrouées, ce n’est guère mobilisateur. Sarkozy pique deux ou trois idées à Mélenchon. Pour le reste, malgré les promesses électorales qui n’intéressent même plus ce qui les écoutent, ce n’est guère mobilisateur. Quant à Bayrou, que dire de Bayrou ? Rien. Si, quelques Yaka Focon sur fond d’austérité. De quoi avaler quelques centaines de litres de Laroxyl pour faire une fin. Et puis il y a Eva Joly. A part son changement de lunettes rouges pour des vertes et quelques propositions à coté des pompes. De quoi avaler quelques milliers de pilules de barbituriques pour faire une fin. Ne parlons pas de Marine Le Pen qui tourne toujours le même moulin à prières. Et Dupont-Aignan dont on sait bien qu’il finira par rallier la droite.
Heureusement, il y a les autres qui ont quelque chose à dire. Mélenchon, au premier chef. Et Nathalie Artaud qui ne s’en laisse pas compter. Et le sympathique Poutou. Et même Cheminade. C’est loin d’être sot, ce que dit Cheminade.
Mais, la semaine prochaine, on n’aura plus de Mélenchon, Cheminade, et al. On n’aura plus que les deux, celui dont le net s’allonge tout le temps et le double Chamallow. Ca va être sinistre comme une homélie du pape !
Au Maroc, on doit épouser son violeur
J’ai envie de commenter un peu le sujet d’Amina Al Filali,16 ans, contrainte d’épouser son violeur et qui s’est suicidée.
Au Maroc, une jeune fille qui est violée est rejetée. Elle ne trouvera pas d’époux. Elle passera toute sa vie dans la honte. Au Maroc, un violeur peut être condamné à de lourdes peines de prison, sauf si –on n’en croit pas ses yeux ou ses oreilles-, sauf si la femme violée épouse son violeur.
Alors, on oblige les filles violées à épouser leur violeur.
Je ne sais pas s’il s’agit ici d’une culture ou d’une civilisation, mais en tout cas, pour que cela ait lieu sans grande émotion, c’est qu’il y a des milliers, des millions de complices. Et je n’ai pas envie de respecter les lois, les usages, les religions, les cultures, les civilisations, qui permettent cela. Car peut-on imaginer sans hurler de dégout qu’on impose à une femme d’épouser celui qui l’a violée ? Imagine-t-on ce que peut être de partager le lit de celui qui vous a violée ? Et subir des rapports sexuels ? Et pourquoi pas être répudiée quand on aura assez servi ?
La culture, la civilisation, musulmane a d’immenses progrès à accomplir quant au respect et au droit des femmes. En attendant, et même si l’on me traite de raciste ou de tout ce qu’on voudra, qu’on ne me demande pas de respect pour une religion qui tolère de telles pratiques.
En Europe, il a fallu se libérer du catholicisme pour que de telles mœurs cessent d’avoir lieu. C’est un exemple à suivre. Vite. Je connais quelqu’un qui dit qu’il n’est pas raciste, mais qui l’est quand même, et qui justifie son point de vue par le sort fait aux femmes dans le monde musulman… Je ne sais quoi lui répondre.
Ordre de Guémené : Franz Olivier Giesbert décoré
Pour sa suffisance lamentable lors des commentaires qu’il fit du « Grand Oral » sur France 2, le 12 avril 2012,
Décoré ce jour de l’Ordre de Guémené avec palmes plantées où il le mérite.
Tout savoir sur L’Ordre de Guémené
Il n’y a pas plus d’andouilles à Guémené qu’ailleurs. Mais il y a plein d’andouilles qui ne sont pas à Guémené.
Visitez Guémené
Ordre de Guémené : David Pujadas, Fabien Namias, Nathalie Saint-Cricq et François Lenglet décorés
Ces quatre journalistes sont décorés de l’ordre de Guémené pour la bassesse, la petitesse, la mesquinerie des questions posées lors du « Grand Oral » sur France 2, le 12 avril 2012. Et pour couronner le tout, ont aussi fait preuve de servilité devant Nicolas Sarkozy.
Minable.
Tout savoir sur L’Ordre de Guémené
Il n’y a pas plus d’andouilles à Guémené qu’ailleurs. Mais il y a plein d’andouilles qui ne sont pas à Guémené.
Visitez Guémené
Comment vais-je pouvoir voter Hollande au deuxième tour ?
Cette campagne présidentielle est globalement lamentable Sarkozy rame tous les jours pour trouver un gadget qui l’empêcherait de perdre. Hollande ne vaut guère mieux. Pour un candidat promis à la victoire, on est en peine de trouver un programme viril et cohérent. Pas plus que Sarkozy, il n’a de vision d’ensemble de la politique qu’on pourrait mettre en œuvre. C’est un notaire, pire, un épicier qui recrute 60000 enseignants par-ci, qui taxe les plus riches par là. Mais quelle vision d’ensemble de l’éducation, autre que des affirmations symbolique sur l’importance de l’éducation. Quelle vision de la fiscalité et des recettes de l’état ? Quelle politique de santé ? Quelle politique internationale, en termes d’économie comme en termes de démocratie.
Marine Le Pen raconte toujours les mêmes trucs, un peu limés pour être présentables. Bayrou est devenu inaudible, faute d’avoir choisi son camp. Et Eva Joly, quelle déception ! Quant aux autres candidats, c’est comme d’habitude.
Comme d’habitude, sauf un : Jean-Luc Mélenchon. Jean Luc Mélenchon a fait le choix d’une authentique démocratie. « Prenez le pouvoir », écrit-il sur ses affiches. On est en face d’un projet nourri de philosophie et d’économie politique, nourri aussi des grands écrivains. On sent son Proudhon, son Marx… et même un doigt de Bakounine. La liste serait longue. Et toute cette culture, nourrie des erreurs de l’histoire (notamment sur le Marxisme) et de l’analyse du temps présent, débouche sur un projet politique et social fraternel, coopératif et autogestionnaire. Au passage, il redonne espoir aux communistes sincères effondrés de la dérive soviétique.
Il y a bien longtemps qu’on n’avait vu ça. Pourvu que ça dure !
Comment vais-je pouvoir voter Hollande au deuxième tour ? Nous voilà si différents.
Mélenchon, le troisième homme (François Morel)
Voici qu’est revenue en campagne de France
Phénomène inouï, le temps de l’éloquence.
On l’avait oubliée la voilà revenue,
La parole exprimée des mineurs, des canuts.
Celle qui chantait fort des petits, des modestes
Les revendications, la rage manifeste.
Voilà qu’en plein meeting, on entendit les mots
D’un poète français nommé Victor Hugo.
Monsieur Victor Hugo, c’est à peine croyable,
Ecrivit un roman nommé Les Misérables.
Si vous ne l’avez lu, lisez le livre en poche.
Pour Jean Valjean, Fantine et Cosette et Gavroche.
C’est un livre d’amour un roman populaire
Qui parle de la vie du monde prolétaire.
C’est aussi voyez-vous un plaidoyer social
Mais qui n’oublie jamais de parler d’idéal.
Comme un diable surgi dans la monotonie,
Comme un soir de printemps, une douce embellie,
Voici revigoré l’antique PCF,
Qui depuis des années ne vivait que sous perf.
Voici des ouvriers qui reparlent d’espoir,
Voici qu’est évoqué, à nouveau, le grand soir.
Voici que l’espérance aujourd’hui a un nom
Un prénom et la voix de Jean Luc Mélenchon.
Ils ne sont pas nombreux aujourd’hui les tribuns
Il sera celui-là s’il n’en peut rester qu’un.
Le dernier Mohican, le dernier utopiste,
Le laïc intégral, l’ultime socialiste.
Il fut, on s’en souvient grand mitterrandolâtre,
Fabiusien, Rocardien, Jospinien acariâtre.
Il fut même, je crois, du genre Emmanuelliste
Mais je ne dis pas tout car très longue est la liste.
Marie Georges Buffet a les yeux de Chimène
Pour cet homme qui vient avec son oxygène
Réanimer la flamme et redonner confiance
A son parti qu’on vit en pleine déchéance.
On peut trouver parfois qu’il en fait un peu trop
Qu’un peu trop volontiers, il fait son numéro.
N’étant pas, je l’avoue, fort en économie,
Je me garderai bien de juger ses avis
Sur l’emprunt, sur la dette ou le pouvoir d’achat.
Faudra-t-il rembourser les banquiers ou bien pas ?
Quand il veut envoyer au gibet, à la corde
Tous ses contradicteurs, c’est un peu monocorde.
Il est assez souvent, dans la caricature,
Dans l’excès, il est vrai, dans la démesure.
Il fut leader trotskyste jadis à Besançon,
Sénateur de l’Essonne, militant pour le non.
Il fut en d’autres temps, vous ne le nierez pas,
Un révolutionnaire en chaussons au Sénat.
Mais aujourd’hui voilà que les sondages donnent
De très bons résultats qui tout le monde étonnent
Pour ce compétiteur qui, au commencement
Pesait peu, crédité d’à peine trois pourcent.
« Les sondages se trompent, les sondages se plantent »,
S’égosille Le Pen qui est très mécontente.
Cet homme qui naquit lors d’un referendum,
Pourrait bien devenir, demain, le troisième homme.
On dit aujourd’hui que cet être loquace
Peut être au premier tour à la troisième place.
Incroyable poussée, devancer le FN
Et son petit commerce de rancœur et de haine.
L’idée, je vous l‘avoue, ne m’attristerait pas,
La nouvelle serait réjouissante pour moi.
Je ne sais qui demain sera le bon pilote.
Je ne vous dirai pas pour qui ira mon vote.
Mais c’est plutôt, je crois, une bonne nouvelle
Que soient mises en valeur les idées fraternelles.
Quand on cite ces vers, on ne peut avoir tort.
Je parle de l’auteur, Hugo, prénom Victor.
François Morel, France-Inter, 6 avril 2012. << Ecouter la chronique>>
Socialistes : le vote utile, c’est voter Mélenchon !
Le vote utile, c’est voter Jean-Luc Mélenchon.
Comment direz-vous ? Mais c’est très simple. Il suffit simplement que ce dernier fasse un meilleur score que Marine Le Pen. Et hop. Le fameux « spectre » d’un 21 avril est renvoyé aux gémonies.
Que risque-t-on ? Rien. Si, que Mélenchon fasse un meilleur score qu’Hollande, ce qui, soit dit en passant, serait une bonne chose. Car il y a une ligne qui passe quelque part, vers le milieu du Parti Socialiste, à gauche de laquelle les militants sont plus proches de Mélenchon que d’Hollande. Il y a tous ceux qui ont voté non au référendum sur l’immonde Constitution Européenne et qui se sont fait froidement mettre par la suite. Il y a ceux qui ne se reconnaissent pas dans l’économie de marché et dans le libéralisme économique. Ces 14% qui ont voté Montebourg aux primaires au grand étonnement de ceux qui ont les paupières collées par le pus d’une trop longue existence politique. Tous ceux qui ne sont pas centristes quoi.
Quant à moi, je revendique le droit absolu de voter au premier tour pour qui je veux. Sinon, pourquoi faire deux tours. Est-ce de ma faute si la gauche a abandonné la classe ouvrière et l’a jetée dans les bras de la famille Le Pen ?
On annonce: « Quinquennat d’un plouc chez le bobos »
Rien que le titre fait saliver d’envie.
L’auteur, Jean Noël Cuenod est un journaliste suisse. On attend la parution de l’ouvrage le 1er avril ????
On pourra lire le commentaire d’Edwy Plenel ici.
Il a rangé tranquillement son scooter, puis il s’en est allé tuer
Il a rangé tranquillement son scooter,
Puis il s’en est allé tuer.
On dit qu’il tenait une petite fille de huit ans par les cheveux
Pendant qu’il lui tirait une balle dans la tête.
Quand il a eu fini de tuer,
Il a repris son scooter
Et il est parti.
Comment peut-on tenir une petite fille par les cheveux
Pendant qu’on la tue
Et que des morceaux d’os et de cervelle giclent partout.
Il faut bien dire ça :
Il y a eu de la matière humaine qui a giclé.
Là-bas, en Syrie,
Ils ont coupé le sexe des enfants qu’ils avaient attrapé.
On ne sait pas s’ils ont coupé avant ou après avoir tué.
On en est presque à dire
Qu’on préfèrerait qu’ils aient tué avant.
Voilà. Il faut bien dire ça:
Préférer qu’on tue avant d’émasculer
Plutôt que le contraire…
A Gaza, en 2006, des bombes ont tué des enfants.
C’est-à-dire que des bombes sont tombées
Et ont explosé.
Peut être, une bombe est-elle tombée juste dessus
De l’un d’eux.
Et tout a explosé,
Projetant des morceaux de fer et de chair d’enfant.
Tout ça mélangé.
Peut-être est-elle tombée à côté,
Criblant les corps de morceaux qui se sont enfoncés dans la chair et l’os.
Là, c’est le sang qui a giclé.
Peut-être qu’ils ne sont pas morts tout de suite.
Il faut bien dire ça:
Préférer qu’on soit morts avant de gicler partout.
Si on allait vomir un peu ?
Mélenchon: un vrai programme de gauche !
L’essentiel de la différence entre les programmes de Jean Luc Mélenchon et de François Hollande tient en peu de mots : l’acceptation ou la non acceptation de l’économie de marché.
L’économie de marché suppose que la production est animée par la recherche du profit. C’est le marché, donc la concurrence, qui fixe les prix. Naturellement, les producteurs qui se présentent avec des prix trop élevés sont éliminés : c’est le dépôt de bilan, entraînant des dégâts collatéraux, notamment des licenciements. En économie de marché, les actionnaires reçoivent une partie du profit, sous forme de dividendes. Les actionnaires ont donc tendance à bien rémunérer la direction quand elle gère l’entreprise de façon à délivrer un bon dividende. Les directeurs ou les présidents font donc partie des bénéficiaires. Les salariés sont une variable d’ajustement. On n’est pas forcé d’augmenter les salaires, a fortiori si on licencie. Le licenciement fait partie de la stratégie pour faire craindre la perte de l’emploi des salariés qui restent : ceux-ci sont peu revendicatifs et l’on peut même augmenter la productivité avec le même effectif. Les ouvriers sont étonnés qu’on licencie dans des entreprises qui font des bénéfices. Pourtant, on voit que c’est tout simple : pression augmentée, revendications muselées, syndicats ligotés, maintien, voire augmentation de la profitabilité.
Cette stratégie est terroriste. C’est la raison pour laquelle on peut constater des départs ou des suicides, de la part de salariés pour lesquels la pression est trop forte.
En acceptant les règles de l’économie de marché, les socialistes, donc François Hollande, acceptent le scenario ci-dessus. Pour être « de gauche », on va donc voter quelques lois « sociales ». Mais, grosso modo, le fonctionnement ne sera pas très différent. Lionel Jospin l’avait bien dit : « l’état ne peut pas tout ».
A contrario, on pourra décider que la production a pour objectif de fournir un travail et un salaire au plus grand nombre. Les prix ne sont pas obligatoirement fixés par le jeu de la concurrence. Les prix tiennent compte d’une juste rémunération pour les travailleurs. Mais il peut arriver que ces prix soient trop élevés pour concurrencer ceux pratiqués dans d’autres pays qui sont toujours à l’économie de marché. Il faut donc trouver des moyens de faire baisser les coûts de production.
On peut agir sur le montant des dividendes. Cette pratique a ses limites puisqu’il faut quand même rémunérer convenablement les apporteurs du capital. Ceci vaut d’autant plus que ces apporteurs peuvent être des travailleurs eux-mêmes plaçant leur argent pour leur retraite, par exemple.
Il faut donc développer le secteur coopératif et mutualiste. Dans cette perspective, ce sont les travailleurs ou les clients qui « possèdent l’entreprise ». En France, par exemple, le capital de la société d’assurance M.A.I.F. est constitué par les « parts sociales » des clients mutualistes. Le plus important est que la mutuelle n’a pas d’actionnaire à rémunérer. Elle peut donc pratiquer des tarifs moins élevés ou offrir de meilleurs services pour le même prix. L’esprit mutualiste porte également à s’efforcer de rémunérer le personnel le mieux possible. Les membres du Conseil d’Administration, la présidence et la direction sont soit des bénévoles (indemnisés et défrayés), soit salariés de façon modérée.
Dans le secteur coopératif, ce sont les salariés qui possèdent l’entreprise. Pour ce faire, ils doivent apporter chacun une part du capital. Naturellement, le secteur coopératif dispose de banques coopératives ou mutualistes qui vont prêter à ces salariés au taux le plus faibles possible. On peut aussi imaginer investir tout ou partie d’une indemnité de licenciement. Dans une coopérative, l’échelle des salaires n’est guère supérieure à un rapport de 1 à 5 ou 6. Le Conseil d’Administration composé d’élus du personnel, nomme la direction et fixe sa rémunération. Les membres de ce conseil savent bien que l’intérêt de l’entreprise et de chacun est de choisir les plus compétents et de les rémunérer comme il faut.
L’absence d’actionnaire fait baisser les coûts de production. Une politique salariale correcte aura tendance à les faire monter. Mais on pourra aussi trouver quelques gisements : il est évident que la productivité de salariés dans une entreprise dont ils possèdent une part est bien supérieure à la moyenne. Les salariés possèdent leur outil de travail. Ils sont donc motivés pour le protéger.
Mais si ces méthodes peuvent permettre de modérer les coûts de production, il n’est pas certain qu’ils puissent, malgré tout, concurrencer les prix pratiqués dans les pays où la main d’œuvre est servile et bon marché. C’est là qu’intervient le rôle régulateur de l’état en protégeant les citoyens contre une concurrence assurément déloyale. Ce qui veut dire intervention sur les prix d’importation et le produit de cette intervention peut servir en retour pour faire baisser les prix à l’exportation. On est donc en présence d’une économie administrée. Les pays émergents le font. Il n’y a rien de scandaleux.
L’intervention de l’état s’étendra aussi au contrôle des secteurs économiques critiques : banques, énergie, transport, télécommunications. En effet, il est immoral de faire du profit dans des domaines ou les citoyens sont captifs.
A contrario, il ne sera pas immoral de taxer énergiquement l’enrichissement excessif et sans cause, comme tout ce qui provient de la spéculation.
Au final, l’architecture de l’économie administrée est fondée sur un contrôle de l’état sur les secteurs vitaux pendant que les entreprises se développent sur un mode coopératif ou mutualiste. L’objectif de cette politique est d’assurer l’emploi des travailleurs et tout ce qui va avec, santé, logement, loisirs, etc. On notera que ce modèle est peu centralisé puisqu’il repose majoritairement sur des organisations variées et locales, ce qui met à l’abri des dérives, nommées à tort « communistes », comme ce fut le cas en U.R.S.S..
La recherche de la déclinaison de ce modèle, avec les adaptations indispensables (dans le secteur de la santé ou de l’éducation, par exemple) constitue un vrai programme de gauche.
Notes d’économie politique 72 – 17 mars 2012