Et aujourd’hui, où sommes-nous pour la mort de Rémi Fraisse ? Est-ce parce que le gouvernement se prétend « de gauche ? Quand Malik Oussekine a été battu à mort par la police, nous étions 500000 de Denfert-Rochereau à la Nation, le 11 décembre 1986. Aujourd’hui combien sommes-nous ? Combien serons-nous ?

Et, encore une fois, que défendait cette police-là, quels intérêts ? Un misérable barrage, même pas foutu de produire de l’électricité, dont on n’est même pas certain qu’il soit vraiment utile. Ou plutôt, comme à Notre Dame des Landes, l’ouvrage de quelques parvenus politiques qui se croient maîtres du monde. Ou, peut-être encore, quelques intérêts privés pouvant prospérer au mépris des citoyens. Car je voudrais bien savoir à qui ce barrage pouvait profiter, car j’espère qu’on ne l’édifiera pas et qu’on engloutira pas sous des mètres d’eau, le site de la mort de cette victime de l’impérialisme d’état.
1082 – 28/10/2014
Manuel Valls et sa bande donnent le sentiment que procure la vue d’un gamin agité qui tape des poings et des pieds dans tous les sens. Les voici avançant avec un certain nombre de mesurettes dans un sens ou dans l’autre seon le sens du vent. Les routiers et les bonnets rouges s’agitent. On retire l’écotaxe. Va-t-on prendre le risque de voir des centaines de camions paralyser les routes ? Les poids lourds continueront à polluer et embouteiller l’autoroute sur la rive gauche du Rhin, en Alsace. On remplace par une taxe de 4 centimes sur le gas-oil à laquelle les camions étrangers pourront éviter en se servant à l’étranger.
Abou Bakr al-Baghdadi au nom de qui ses « fidèles » décapitent, non égorgent des hommes comme des moutons. Tous les jours on rapporte les saloperies commises en son nom. C’est à vomir !