On me dit que je n’écris plus

On me dit que je n’écris plus

On me dit que je n’écris plus. C’est vrai. Et, à part l’intense haine comme celle que génère en moi l’immondice dont il est question ci-dessous, je n’ai plus rien à dire. Ou plutôt trop. La politique intérieure de la France est tombée dans un tel état de délabrement que j’en reste sans voix. Et même si je faisais l’effort d’écrire quelque chose, ce serait tous les jours pareil. Hollande et Valls pissent tous les jours sur les électeurs qui les ont mis là où ils sont. Le peuple pourrait leur contrepisser dessus. Mais comme ce troupeau bêlant ne trouve même pas la force ou le courage de lever le poing, que puis-je faire de mieux.

Tout le monde attend les prochaines élections et le retour du pire…

Quo usque tandem abutere, Hollandus, patientia nostra?

1078 – 12/10/2014

Bakounine