J’ai de plus en plus envie de crier « Mort aux Cons ».
Ce doit être un effet de l’âge !
J’ai de plus en plus envie de crier « Mort aux Cons ».
Ce doit être un effet de l’âge !
Mais voilà que la crise est venue et que le bon peuple prolo se raisonne un peu parce qu’il faut bien bouffer tout de même. Alors, les machines à sous sont moins pleines qu’avant.
Et voilà que j’entends à la radio les lamentations d’un mec du groupe Barrière. Ce groupe possède les casinos de Besançon, Biarritz, Benodet, Bordeaux lac, Briancon, Les princes, Cannes Croisette, Carnac, Carry le Rouet, Cassis, Chamonix, Dax, Deauville, Dinard, Enghien les bains, Jonzac, La Baule, Le Mail, Mandelieu la Napoule, Menton, Ruhl, Niederbronn les bains, Ouistreham, Perros guirec, Ribeauvillé, Royan, St Malo, St Rapahel, Ste Maxime, Toulouse , Trouville, etc.. Ce sont donc de grands malheureux. Et voilà le mec qui osait laisser entendre que, si les pouvoirs publics ne l’aidait pas, il licencierait des centaines d’employés.
Tous des porcs qui remplissent leur poches, leurs slips, leurs soutifs, leurs chaussettes, de gros paquets de billes de banque, quand la conjoncture est bonne et qui, dès lors qu’elle devient mauvaise et qu’ils n’ont rien provisionné (sauf leurs intouchables biens propres et nombreux), ont le culot de mendier, menacer et faire chanter.
Je ne trouve pas de mots assez vulgaires et injurieux pour qualifier ce comportement.
Parfois j’ai des envie de veuve sanglante Place de la Révolution
Ils sont adorables, les socialistes. Ils ont une personnalité populaire. Qui aurait même pu battre Sarkozy si on ne lui avait pas mis des arbres entiers dans les roues.
Mais point n’en veulent.
Chapitre 1: Bertrand se retire avant le scrutin et demande de voter pour Martine.
Chapitre 2: Benoît se fait sortir à son tour et demande de voter pour Martine.
Et, à chaque fois, le score de Ségolène monte. Et pourtant…
J’imagine que Martine, si elle est battue suggérera qu’on vote pour Nicolas !
Car enfin : Nicolas et Martine même combat : TOUT SAUF SEGOLENE
Voilà qu’on apprend que le maire de Paris appelle à soutenir Martine Aubry. J’avais crû comprendre que ces deux là ne se supportaient pas. Mais enfin, au PS tout est possible y compris le mariage de la pieuvre et du crotale !
Au fond, tout revient dans l’ordre et la machine à perdre vient de se remettre en route.
Car les seuls à apporter un peu d’air frais étaient bien Benoît Hamon et Ségolène Royal à des titres divers. Disons que, malgré leur total manque de virginité politique, ils paraissaient n’avoir pas été complètement mâchés par la bête.
Benoît Hamon avait l’intention sympathique de tirer le parti vers la gauche. Entreprise difficile quand on a le Directeur du FMI dans son parti et quand la plupart des dirigeants se reconnaissent dans l’économie de marché. Et puis il y a le petit Besancenot qui ronge le tour de la galette. Et le peuple l’aime, le petit Besancenot. La seule chance, c’est qu’il est peu probable que le peuple veuille de Besancenot comme Président de la République.
Et puis, il y a Ségolène. Le gros morceau. La bête de scène. Sans doute tire-t-elle un peu vers la droite, car au fond elle sait bien qu’elle a peu de chances de gagner si elle ne va pas grignoter à droite. Ce qui fait l’atout supplémentaire de dame Royal, c’est que le peuple l’aime bien. Quand on a fait le score qu’elle a fait aux présidentielles avec tous les éléphants du PS qui déposaient des tonnes de peaux de bananes sur son chemin, on reste un personnage avec lequel il faut compter. Et ces abrutis de dirigeants la croyaient fichue. Pan ! C’est elle qui fait le plus gros score !
En étant réaliste, la seule chance de battre Sarkozy repose pout l’instant aux pieds de la dame. On peut trépigner, c’est ainsi. Et c’est la seule qui soit aussi populaire à l’extérieur du parti. Et pour élire un président, il faut aller chercher des voix, beaucoup de voix, en dehors du parti !
Car Martine Aubry va rendre frigide.Tout le monde se souvient de la Ministre. Raide comme un cierge de Pâques, aurait dit Brel. Et puis, ce n’est tout de même pas, non plus, à gauche toute.
C’est d’ailleurs rigolo: va se retrouver secrétaire du PS une créature qui aurait voté Bayrou aux dernières présidentielles et qui essaie de nous faire croire qu’elle est plus à gauche que Madame Royal. C’est dire combien tout cela sent la soupe aux vieux croûtons moisis.
A ce propos, des lecteurs de mon blog (il y en a quelques uns) me déclarent ne pas comprendre mon soutien à Ségolène Royal qui n’est nullement en accord avec mes autres prises de positions. Je les comprends. Mais si je ne soutenais vraiment que ce que j’ai vraiment envie de soutenir vraiment, je ne soutiendrais vraiment pas grand chose. Avec l’âge, je suis devenu pragmatique. Comme je l’ai dit souvent, je préfère Ségolène à Bayrou et je préfère Bayrou à Sarko. Car il est bien évident que, par les temps qui courent, la politique de la France serait plus sociale si c’était la dame qui avait été élue.
On a déjà raté notre chance deux fois. sera-ce jamais deux sans trois ?
Sans doute la loi d’autonomie des universités a été accueillie par beaucoup avec bienveillance. Il était question de tout gérer, des locaux jusqu’aux choix pédagogiques. Au fond, c’était bon. Pouvait-on croire.
Mais voici que cette autonomie est assortie de la mise en place d’un pouvoir fort. Les universités seront gérées par un Président. Auquel sera joint évidemment un Conseil d’Administration. Mais tous les projets de décrets d’application tendent à donner un maximum de pouvoir à ce président.
Son pouvoir ira jusqu’à « moduler » la durée du travail des senseignants. Les « mauvais » chercheurs (ceux qui ne parviennent pas à pondre dans la hâte un certain nombre d’articles scientifiques) devront faire plus d’heures de cours. Ce qui, au demeurant n’améliorera pas leurs recherches. Quel pouvoir discrétionnaire ! Et l’on voit, tout de suite poindre le favoritisme et le népotisme. Peut-être même qu’en partageant la couche du président, on pourra ne rien faire !
Le modèle économique de la société marchande avance .Les universités vont fort ressembler à des sociétés anonymes avec la mise en place de ces réformes libérales et compétitives, tant en matière de recherche qu’en matière d’enseignement. Sous le couvert publicitaire de l’autonomie, on ne cherche qu’à livrer l’université à certains appétits que nous connaissons bien. Quand on parle de rapprochement avec les grandes écoles, on sait bien que ce rapprochement peut se faire dans plusieurs sens.
Tout ceci, bien sûr, au nom de l’excellence ! On peut certainement déplorer le niveau de certains étudiants à l’entrée. Mais ce ne sont pas les universités qui ont décrété « 80% de la classe d’âge au bac ». On peut aussi déplorer les erreurs d’orientation. Mais c’est la contrepartie d’un système démocratique. La démocratie fonctionne par essais et erreurs. Seule la dictature sait d’avance comment elle fera.
Pour l’heure, l’Université est ainsi faite et on nous demande déjà assez de pratiquer une politique de réussite qui frise la démagogie. C’est probablement cela qu’il faut changer plutôt que les pouvoirs du Président. Depuis des siècles, l’Univerté était collégiale. Elle fonctionnait un peu comme une coopérative. Une coopérative pleine de spasmes, mais une coopérative quand même. Aujourd’hui, la porte d’entrée de la Société Anonyme est ouverte.
Quand l’Etat décidera de réduire son financement, il faudra bien trouver des ressources quelque part. Alors, on augmentera les droits d’inscription et l’on se tournera vers un partenariat avec le secteur privé. Les étudiants pauvres seront rejetés et la recherche fondamentale prendra un coup dans l’aile.
Les yeux tournés vers l’Amérique, la Sarkozie veut nous faire singer les universités américaines, qui ne sont pas toutes glorieuses, d’ailleurs. C’est un choix évidemment politique, comme pour le reste.
On me dit qu’il est en train de se passer des choses similaires en Italie. Voilà qui n’étonne pas !
En 1969, un maître-assistant devait assurer150 heures de cours par an. Certains trouvent que ce n’est pas beaucoup. Mais 150 heures de cours, c’est déjà, en moyenne, 450 heures de préparation. On ajoute à celà les corrections des contrôles des connaissances, les corrigés d’écrit, les oraux, dans certains cas, les jurys d’examen, etc, etc….
Au final, ce n’etait pas peu pour UN MI-TEMPS !
Car les enseignants du supérieur sont des enseignants-chercheurs et doivent, à peu près, partager leur activité entre ces deux catégories de tâches.
Et aujourd’hui, grâce à une … de ministre nommée Saunier Seité, c’est devenu 192 heures !
Plus encore, au nom de l’autonomie des universités, on voudrait maintenant que le Président puisse, selon des critères très flous, faire varier les horaires de service des enseignants. Ainsi, on pourra punir les mauvais chercheurs en leur donnant plus d’enseignement. Pourra-t-on aussi punir les mauvais enseignants en leur imposant plus de recherche ?
On ajoutera à celà que l’activité de recherche est surtout devenue depuis 20 ans une frénésie de publication d’articles dans des revues. Cette débauche quantitative n’a rien apporté sur le plan de la qualité. Pire encore. Plus personne n’a le temps d’écrire un livre, un bon livre comme nos maîtres le faisaient. D’ailleurs certains articles sont « bidons », comme ce fut le cas récemment, dans des revues pourtant très sérieuses.
Cette dérive est grave.
Recherche bâclée. Enseignement bâclé. Voilà l’avenir.
Le public doit en être informé.
Je ne suis pas allé voir Entre les murs. Pire, je n’ai pas envie d’y aller. Au moins pour l’instant. Pourquoi ?
Ce que j’en sais, ce que j’en ai vu, provoque un malaise en moi. Je sens venir la contestation de la pédagogie traditionnelle de l’autorité. Mais comment, moi l’héritier de mai 68, puis-je être ainsi aussi réservé ?
Disons-le tout de suite. J’ai été initié à Rousseau par un professeur de français qui ne l’aimait guère. Qui le trouvait veule. Et autant cet homme méprisait Rousseau, autant admirait-il Voltaire. Cela m’est resté. Et il faut de fortes expériences douloureuses pour changer quand c’est si bien enraciné. Tout ceci pour dire que ce que j’ai retenu de 68 en matière de pédagogie est resté réticent aux expériences pseudo-libertaires frisant la démagogie.
J’ai toujours estimé que la relation enseignant-enseigné était asymétrique et qu’elle devait reposer sur l’autorité légitime. J’ai bien dit « légitime ». Puis mes études de psychologie et mes pratiques de cadre pédagogique m’on conforté sur l’idée de la nécessité d’images parentales (pour dire vite, mais ce peuvent être d’autres adultes) solides. Et même s’il m’arrive d’être réservé sur la psychanalyse, l’idée d’un « surmoi » construit sur la base des interdits sociaux et parentaux m’a toujours paru au minimum métaphore intéressant.
Or, là, on me dépeint ce film comme l’étude d’un mode de relation enseignant enseigné non conforme à l’idée que j’en ai. On peut alors me reprocher de ne point accepter d’exemples contradictoires. Mais n’ayons crainte. Je le verrai le film quand la période de l’admiration béate par des non spécialistes naïfs aura passé. Je me sentirai plus libre de penser différemment de la meute (peut-être). Et moins agressé si mon point de vue diffère de la majorité, ce qui est probable si le film est comme il s’annonce.
Car l’origine socioculturelle n’explique pas tout et, surtout, ne permet pas tout. Il est évident que notre système scolaire n’est pas adapté à tous. J’ai presque envie de dire qu’il n’est adapté à personne. Mais je pense aussi fortement, probablement parce que je suis de cette trempe, qu’il faut que les enseignants SOIENT. Verbe être utilisé de façon intransitive. Etre avec des tas de questions comme dans « to be or not to be ». Rien n’est pire qu’un enseignant qui ne lèguera pas de souvenir à ses élèves. Il doit permettre, à la fois, des processus d’identification, et des processus de rejet. mais de rejet contruit, car il faut bien aussi que l’élève SOIT. Et pour être, il doit être différent de moi. Cette singularité du maître passe par la singularité de son langage qui doit être de bon niveau, tout en restant compréhensible, évidemment. Cette singularité passe par l’apparence de sa personne qui doit être plus proche de celle de ses pairs que de celle de ses élèves. Cette singularité passe enfin par la morale, la justice et donc, une certaine sévérité.
Je pense que si l’on me demandait de choisir mes modèles préférés, en matière de pédagogie, je choisirai d’abord Célestin Freinet, puis Anton S. Makarenko. Et je crois bien qu’aucun des deux ne se serait senti bien « entre les murs ».
Je regardais une rediffusion d' »Holocauste » sur la chaîne Histoire. Et voici de nouveau posée cette éternelle question: comment peut-on comprendre que des millions de juifs aient pu ainsi être assassinés sans pratiquement aucune résistance.
Le film montre de façon rapide le soulèvement du ghetto de Varsovie et l’étonnement des participants de constater qu’ils peuvent, même avec peu d’armes, causer des dommages à l’adversaire dès lors qu’ils son un peu groupés et organisés. Mais, au fond, ils savent bien qu’ils finiront vaincus notamment parce qu’ils ne sont pas assez nombreux.
Plus tard, est montrée, un peu sommairement, il est vrai, l’évasion du camp de Sobibor. Cette évasion a ceci de spectaculaire, c’est qu’elle est massive. Mais c’est ce nombre qui en fait la force et la réussite. La puissance de feu des gardiens n’est pas suffisante à la fois pour s’opposer aux armes, pourtant inférieures en nombre, des évadés et abattre tous ceux qui courent vers la sortie.
Ce qui fait la force de cette évasion, c’est évidemment le nombre, mais aussi le fait qu’elle réussit au prix du sacrifice d’un certain nombre de candidats à la liberté. A vrai dire, ce ne sont pas des individus qui s’évadent, mais une espèce qui survivra simplement parce qu’un nombre suffisant sera épargné.
Le contraste est grand avec tous ceux qu’on conduit résignés à l’abattoir. Mais alors pourquoi ne se soulèvent-ils pas en masse comme les prisonniers de Sobibor ?
Il y a, de mon point de vue, deux facteurs.
Le premier est l’absence totale d’organisation collective telle que serait un parti, une association ou un syndicat, par exemple. C’est ainsi que le parti communiste fut un élément structurant de la résistance française aux nazis, même s’il ne fut pas le seul. Le noyau structurant permet l’agrégation d’éléments auparavant isolés: ainsi se développent peu à peu groupes de résistance ou de partisans. Mais les membres découvrent vite que la survie du groupe transcende la survie individuelle. Il devient évident, comme à Sobibor, que tous ne survivront pas.
Le deuxième facteur est corollaire du précédent: c’est l’individualisme. Quand les personnes soumises aux arrestations imaginent leur salut individuel, elles n’en trouvent naturellement aucun, tant le rapport de force est en leur défaveur. Il ne reste plus qu’à espérer l’improbable qui ne survient naturellement pas. Alors qu’il eût suffi que des centaines de déportés se jettent sur leurs gardiens avant de monter dans les trains pour que l’évasion soit possible, au prix, naturellement d’un certain nombre de victimes. On sait bien qu’il y eut quelques spectaculaires manifestations d’isolés qui périrent et n’entrainèrent pas un ensemble suffisant d’individus qui ne constituaient pas une collectivité.
Mais il ne suffit pas de croire que « l’union fait la force ». La force de l’union vient de ce que chaque membre est disposé au sacrifice pour la collectivité. Cette union sacrée peut naître de l’idéologie commune. Elle peut découler aussi du désespoir commun.
Ceux qui nous gouvernent et pillent les richesses du monde prennent bien soin de ne pas désespérer trop de citoyens.
Notes d’économie politique 38 – 1er novembre 2008
On sait maintenant que la crise ne sera pas que boursière. Elle accompagne ou amplifie un mouvement de récession dont il n’est pas certain qu’elle soit la cause, car il n’est pas interdit de supposer que le mouvement de récession se soit amorcé de façon indépendante. Mais, au jour d’aujourd’hui, l’effet boule de neige est là. Et cet effet est encore amplifié par la couardise des milieux boursiers qui, au lieu de faire la part des choses et ne réajuster que ce qui mérite de l’être, réagissent de manière infantile et irréfléchie. A moins que, hypothèse d’un machiavélisme plus grand encore, l’ordre du jour ne soit à la spéculation frénétique à la baisse en espérant « se refaire » en achetant à vil prix et en espérant aussi n’être pas le dindon.
Mais, en tout cas, et au final, tout ceci se traduit par une perte de revenus, voire d’une perte d’emploi, pour des millions de gens à qui l’on présente la crise comme on le ferait des mouvements de la marée, comme si c’était inexorable et non modifiable, comme si c’était volonté divine d’un dieu malveillant ou comme si c’était « la faute à personne ».
Or, la faute est bien à un groupe de gens qui ne sont guère plus d’une poignée à l’échelle de l’humanité et qui se sont emparé du pouvoir économique sur le monde pour s’enfler du phallus et des comptes offshore dans ce qu’on nomme « paradis » fiscaux. Et même si ceux-ci, de méprisante façon, ne reconnaissent pas leur faute, on n’entend pas dire qu’ils soient le moins du monde inquiétés par les puissances d’état. Leurs ennuis se limitent, au maximum, à la perte d’un parachute doré et même pas à la perte de valeur de leurs stock-options, car ils ont vendu fort à propos, ce qui n’aurait jamais été que la nième couche de leur tas d’or.
En d’autres temps, on était moins indulgent envers les profiteurs. Au Far West, on les eut couverts de goudron et de plumes. Et ceux qui furent poursuivis, en France, pour marché noir, en 1945, n’avaient pas touché le millième de ce que ces arrogants parrains ont engrangé.
Il semblerait quand même légitime que la justice passe. Au moins qu’on les dépouille de la plus grande part de leurs biens pour secourir ceux que leur impéritie a conduit et va conduire au désespoir. Il y a tous ceux, dans le monde occidental qui vont se retrouver au chômage. Il y a tous ceux dans le Tiers Monde, pire encore, qui ne pourront manger à leur faim. Il y a tous ceux qui y perdront la vie de désespoir ou de disette. Car même ceux qui ont souscrits à des emprunts irréalistes ne sont jamais coupables que de s’être fait embobiner par des intermédiaires incompétents et avides de profit
Il est pas impossible que le nombre de victimes soit plus élevé que ne le furent celles de la Yougoslavie. Alors, qu’attend-on pour constituer un Tribunal Pénal International pour juger des crimes économiques qui ont conduit les citoyens de la planète à un tel désastre ?
Dans une société « normale », où subsisterait un peu de morale, il faut reconnaître ses fautes, mais aussi les réparer. On attend…
Notes d’économie politique 36 – 28 octobre 2008
Les CRS qui ont pénétré dans un appartement pour s’emparer d’une personne soupçonnée d’avoir jeté des projectiles sur une voiture de police en avaient-ils le droit ?
La vidéo sur DailyMotion: