Il n’en faut pas beaucoup pur que reviennent les mauvaises habitudes. Voilà que viennent, ici et là, des échos de comportements policiers peu policés qui s’apparentent plutôt à la bavure qu’au respect de l’état de droit. C’est probablement génétique, comme ces chiens si doux qui deviennent furieux dès qu’on les lâche.
Voilà probablement l’exemple-type de l’absent, le jour de la distribution des cerveaux. Depuis longtemps, j’avais remarqué sa propension à tenir des propos inanes. Ces derniers temps, il a ajouté à cette inanité une dose de venin, ce qui, en ces temps d’attentats, est particulièrement odieux.

