Les requins volants ne désarment pas

Les requins volants ne désarment pas

iberia.1179845538.jpgQuand on est le patron d’un gros machin financiers, il arrive qu’on ait des réveils illuminés. Un jour, au lever du lit, on se dit: « Tiens, je vais acheter ce truc ». Ou encore: « Tiens, je vais licencier 1000 pauvres mecs pour augmenter le montant des dividendes. Les actionnaires vont être babas et me voter un salaire d’enfer ».
C’est ainsi que le patron de Texas Pacific Group (un fonds américain), s’est réveillé avec un appétit de compagnie aérienne. En même temps, le patron de Brtish Airways avait aussi une petite faim. Au passage, ils ont dragués deux ou trois fonds espagnols qui étaient un peu en manque. Et hop ! Ils se sont goinfrés Iberia.

Les salariés d’Iberia n’ont qu’à bien se tenir… Et ceux de British Airways aussi.

 

Ce sont « les dents de l’air » !

Notes d’économie politique 6 – 22 mai 2007

Bakounine