Vu sur une grande affiche dans le RER E: SFR nous promet qu’on va pouvoir recevoir les résultats du match de foot, pendant la réunion (sous entendu sans attendre qu’elle soit finie). On ne peut que louer cette superbe initiative qui permettra enfin de savoir aussitôt que Marseille a pilé le Paris St Germain. Sans doute, bientôt aura-t-on un forfait qui donnera les résultats en avance.
Dans la foulée, je propose aussi que SFR envoie un message, illico, chaque fois qu’un travailleur de 50 ans est licencié, chaque fois qu’une petite fille est violée dans le monde et chaque fois qu’un homme ou qu’une femme meurt de faim.
MORT AUX CONS !
qui se trouvait en perdition a été abandonné par son équipage de 26 personnes. Il est vrai que le temps des commandants qui sombraient avec leur navire est bien loin. Et puis, au fond, c’était spectaculaire, mais pas très utile. Et voilà que le bateau dérive. Naturellement, on envoie des hélicoptères pour secourir les membres de l’équipage (et tant mieux pour eux) et des remorqueurs pour intercepter ce objet flottant encombrant et dangereux. Il faut donc le prendre en remorque. ce qu’on fait.
Entendu ce matin sur France Info, une idée, une phrase attribuée à Lamartine: La pensée n’existerait que par ses contradictions. Voilà qui est bien vrai et dont ma candidate préféré à l’élection présidentielle devrait faire bon usage. La rélexion, l’analyse sont nécessairement dialectiques ou ne sont point. Alors qu’avons-nous à faire d’une pensée pré-formatée, rigide et, par conséquent, pétrie de mensonges.
Le CAC 40 n’a augmenté que de 17% en 2006 (genre 10 fois plus que les salaires). Putain ! Il ne fait pas bon être riche ou être fond de pension.
Pendant qu’on passait les fêtes, voilà qu’ils ont pendu Saddam Hussein. C’est bien con, car on ne saura rien de tous ses autres forfaits. Voilà qui doit en arranger certains. Et puis pendre ! Même là, j’ai un peu de mal à tolérer la peine de mort. Encore, si le fils ou la fille d’une de ses victimes, dans un geste expiatoire, l’égorgeait, je comprendrais. Peut-être même approuverai-je. Si les kurdes le lapidaient, peut-être laisserai-je faire. Mais pendre ainsi, après un petit procès ne portant que sur une toute petite part de ses crimes ! C’est sans doute encore le produit de basse politique.