Il semblerait qu’à l’initiative qu’un certain Gilles Renard, il soit envisagé de mettre un macron « S » sur le pare-brise ou à l’arrière du véhicule pour signaler que ce dernier est conduit par un « senior ». Ce macaron « S » est en fait destiné à permettre aux malfaisants de choisir des victimes sans défense.
Je propose aussi un macaron « I » pour les ivrognes, et puis « C » comme cannabis et toutes sortes de macarons pour les noirs, les homosexuels. Le macaron « GC », comme « Grand Con » est réservé à monsieur Renard qui pour l’occasion est décoré de l’ordre de Guémené.
![]()
Mais pas au service public ! Comment peut-on, en même temps, imaginer le maintien ou la création d’entreprises dans des villes qui ne sont pas raisonnablement desservies par le rail. Imaginez Brest sans le TGV Paris-Rennes. Quid de Beauvais-Paris avant que l’électrification ait réveillé une liaison délaissée. On a déjà massacré Aurillac. On voudrait vider la Dordogne, le Gers, l’Orne, le Cher, etc. Voyez les cris des habitants de Clermont-Ferrand !


J’ai enseigné à l’Université (en psychologie) depuis 1968-69 jusqu’en 2010-2011. Avant 1968 les licences se composaient d’une Propédeutique semi-spécialisée (Lettre, Sciences) avec un choix de 3 ou 4 matières, puis de 4 ou 5 certificats. Puis est intervenu le choix de la discipline dès la première année. Puis est venue la validation par U.V., sans doute un peu dure, puisqu’il fallait avoir la moyenne partout. Puis est venu le système de la moyenne générale (d’un laxisme effrayant).