Ils ont dû lire l’article de mon blog du 2 décembre 2016. Les hectares incendiés ne « partent plus en fumée » ou si peu. Ils sont « détruits », « dévastés », voire « ravagés » ou tout simplement « ont brûlé » et bien d’autres qualificatifs. Il y a moins de « soldats du feu » et plus de « pompiers ». Moins de lieux communs. Vive la langue française !
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