Le temps de Ségolène est venu. La seule chance de la gauche

Le temps de Ségolène est venu. La seule chance de la gauche

Il y aura aux primaires de la gauche, de bien gentils candidats, certes, les Hamon, les Montebourg. Quoique Montebourg commence à me les éparpiller avec son discours Monsavon. Il y a bien le gentil Hamon. J’ai bien l’impression qu’il croit en ce qu’il dit. Autrement, que va-t-on avoir ? Le Chamallow traître ? Sans pudeur, il en est capable. Comme disait l‘autre : « Les cons ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît » (Michel Audiard). Si le Chamallow n’y va pas, ce qui serait bien pour la sauce tomate (1), mais le Valls va s’y précipiter. Le Valls ! Raide comme un pénis de préado qui voit une fille nue pour la première fois.
Ce qu’il nous faut, c’est une personne capable de créer un peu de joie et d’enthousiasme. Capable de battre le Juppé. Parce que le Juppé n’est pas très érotique, car il est raide aussi, comme l’autre, et l’avenir qu’il nous promet en nous caressant dans le sens du poil, ressemble à un gentil goulag. Gentil, le goulag, mais goulag quand même. Même avec des doses considérables de Viagra, rien à faire, je ne bande pas pour Juppé. Comme disait Brassens : « Quand je pense à Fernande, …, mais quand j’pense à Juju, là je ne bande plus ».
Il nous faut donc une personne capable de créer un peu d’enthousiasme, capable de donner des désirs d’avenir. Et nous l’avons. Elle a failli ravager Sarkozy si les mâles trous du cul de son propre parti ne l‘avaient pas dénigrée.
Souvenons-nous de ses meetings. Souvenons-nous de Charléty.

Le temps de Ségolène Royal est arrivé.

1- Si l’on n’utilise pas les tomates avancés pour les orateurs minables, il y en aura davantage pour la sauce.

1223 – 19/10/2016

 

Bakounine

1 commentaire pour l’instant

OKTAGOB SALOCIN Publié le23h05 - 26 octobre 2016

Quelle audace de décider à sa place si son temps était arrivé. Elle même dit que si l’on envisage la possibilité de sa présence dans l’élection présidentielle c’est que tout est fichu. A par cela, dans son périple vers la tribune de Charletty, c’est que du bonheur de voir comment ses seins se dressent lorsqu’elle lève les deux bras. Et elle le fait souvent.
Mais maintenant l’angle serait différent ce qui provoquerait plus ces réactions d’hystérie populaire. Quant à son discours conjugué dans la fureur du futur, même pas au conditionnel, où le peuple français dira ce qu’il fera et fera ce qu’il a dit, c’est de la splendide démagogie à laquelle toutes les brebis du stade adhéraient à grand cri. Et elle, elle nous disait ce que veut le peuple français. On a failli être bien lotis. Mais c’est Sarko qui est passé. Booof…