Ils ont déchiré une chemise. Et alors ?

Ils ont déchiré une chemise. Et alors ?

Police partoutQue sont ces méthodes dignes de la Guépéou, voire de la Gestapo qui consiste à aller arrêter des travailleurs à l’aube parce qu’ils ont déchiré la chemise d’un responsable de ressources humaines qui s’apprêtait à procéder à des centaines de licenciements. Après les vagissements du premier ministre, l’état socialiste montre aujourd’hui sa vraie nature complice des grandes sociétés capitalistes et du patronat. Quand on interpelle de cette façon des travailleurs syndiqués, on ne peut pas se proclamer « de gauche ».
Si on avait encore quelques doutes, ils sont levés

1150 – 12/10/2015

Bakounine