Le pouvoir ukrainien poste, semble-t-il, des snipers qui tuent des manifestants. Il faut qu’on se réveille. L’Ukraine, ce n’est pas si loin. On peut, venant de France, n’avoir que deux frontières à traverser.
Il y a toujours un dictateur corrompu prêt à se lancer pourvu qu’il dispose du soutien d’un petit Poutine ou d’un autre de même genre. Les évènements de Kiev ne rappellent ceux de Hongrie en 1956 et de Tchécoslovaquie en 1968. Poutine peut-il envoyer des chars comme l’avaient fait ses prédécesseurs à Budapest et à Prague ? Probablement pas, mais…
Trois ministres des affaires étrangères européens sont partis à Kiev pour tenter de faire évoluer une situation bien pourrie depuis que Viktor Ianoukovitch a fait tirer sur le peuple. Qu’obtiendront-ils ? Une bonne occasion de voir si cette « Europe » qui ne sert, sur le plan économique, qu’à appauvrir le peuple, vaut au moins quelque chose sur le plan politique.
1044 – 20/02/2014
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