Voici ci-dessus une photographie l’une des salles du Musée de l’Orangerie où sont présentés une partie des nymphéas. La lumière du jour y descend par un « abat jour » ainsi nommé par les concepteur.
On remarque aussi, et c’est visible à vue d’œil, que la quantité de lumière projetée au centre de la pièce est plus importante que celle qui est envoyée sur les murs où sont accrochés les toiles. Le jour est franchement abattu !
On remarque aussi que les toiles sont fixées sur des murs plus clairs qu’elles. Lorsqu’on regarde l’ensemble, l’ouverture de la pupille s’adapte à la moyenne des stimulations visuelles (fermeture), ce qui fort insuffisant pour la vision détaillée des tableaux qui sont globalement plus sombres. N’importe quel ergonome sait cela. C’est purement physiologique, ce qui est démontré par la photo ci-dessous, recueillie sur le site de la même agence (sous-sol de l’Orangerie). Les toiles sont accrochées sur des murs foncés, intelligemment éclairées afin de mettre en évidence certains détails, tout en préservant l’ensemble.
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