Le capitalisme vient de montrer, une fois encore, sa gueule noire qu’on résume ici et là comme privatisation des profits et collectivisation des pertes. Des années de dérégulation et de délire. Et voici que tout devient instable: le peu de richesse ou de bien être acquis au cours d’années de travail est en péril. L’emploi est en péril. Le quart monde est en grand péril.
Alors, il est temps de rejoindre les structures qui permettront la lutte: groupes de réflexion libertaires et autogestionnaires et, faute de mieux, les syndicats et les partis.
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