Il n’en faut pas beaucoup pur que reviennent les mauvaises habitudes. Voilà que viennent, ici et là, des échos de comportements policiers peu policés qui s’apparentent plutôt à la bavure qu’au respect de l’état de droit. C’est probablement génétique, comme ces chiens si doux qui deviennent furieux dès qu’on les lâche. Je me retrouve comme il y quarante ou cinquante ans avec la crainte de distribuer des tracs, de crier haut et fort et, bien sûr, de manifester. La Quadrature du Net fait recensement tous ces excès. Il est bon de lire ces pages, voire d’y écrire.
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