Rien n’est plus odieux que le vol de la victoire de ceux qui ont concouru dans la souffrance et qui se voient distancés par un tricheur.
Ce n’est pas trop tôt. Cet espagnol vomitoire qui n’a pas plus de sens de l’honneur qu’un étron de chien, a fini par être condamné.
J’espère aussi qu’on va lui faire recracher son pognon, qu’on va lui piquer ses médailles et qu’on va le rouler dans le goudron puis dans les plumes comme il convient aux tricheurs. J’espère que sa petite amie le fasse cocu, que son banquier lui confisque ses avoirs, que la vérole lui mange la face et que le fisc de son pays le saisisse et le fasse condamner à laver les chiottes du monde entier. Et qu’il s’estime heureux. Autrefois on lui aurait coupé les pudenda.
Il me reste quelques crachats.
Qu’Alberto Contador soit couvert par le mépris de l’humanité toute entière.
Laisser un commentaire