Fillon, pourquoi n’as-tu pas taxé la mort ?

Fillon, pourquoi n’as-tu pas taxé la mort ?

Monsieur le Premier Ministre,
Avec vos complices misérables, la Pécresse et le Baroin, vous avez doublé l’impôt sur les cotisations des mutuelles. Doublé ! J’ignorais même que cela existât. Dans quel immonde esprit, une telle idée a-t-elle pu germer ?
Tant qu’à taxer la santé, pourquoi n’avoir pas taxé les remboursements ? Voilà qui eût été bien plus fructueux.
Tout cela est bien mesquin.
Le temps est venu de taxer les cancers. Voyez tout ce que coûtent les cancers. Alors, une petite contribution au paiement de la dette, en passant… Et puis aussi les infarctus, les accidents vasculaires cérébraux. Tant qu’à être immonde, autant l’être tout à fait.
Et puis, en apothéose, la taxe sur les frais d’obsèques. Pas de détail, 100% ! La pauvre malheureuse famille est si éprouvée qu’elle ne se rendra compte de rien.
Recevez, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de mon profond mépris.

Bakounine