Retrait du Di-antalvic : la fin des suicides au dextropropoxyphène

Retrait du Di-antalvic : la fin des suicides au dextropropoxyphène

dextro.1246033346.jpgSi j’en crois ce qu’écrivent aujourd’hui les communiqués divers, le retrait du dextropropoxyphène ne serait pas lié aux non vertus du médicament sur la douleur. Ce serait parce qu’à quantité anormales, il a pu provoquer des morts accidentelles.

Je propose donc qu’on retire aussi, dans un délai d’un an de même, toute boisson alcoolisée pour les mêmes raisons. On supprimera aussi, évidemment, le tabac. Quant aux pommes de terre qui peuvent faire mourir par étouffement les gloutons de purée, elles sont en sursis.

Dans le même temps, on pourrait supprimer les pesticides et les voyages en avion, les villes polluées et même l’air qu’on respire.

Les médecins ont un an pour trouver une autre combinaison antalgique : il y a la codeïne et le tramadol qui sont pas mal aussi.

Bakounine

1 commentaire pour l’instant

costume hotesse de l’air Publié le15h22 - 1 août 2010

Je suis d’accord, s’il est dangereux, c’est tout de suite qu’il faut le retirer!! Personnellement, j’ai pris 6 comprimés de Di-Antalvic par jour pendant quasiment 25 mois sans interruption pour une Algoneurodystrophie. Il ne m’a pas soulagée et le medecin me recommandait vivement de le prendre. Ni à court terme ni à long terme, ce médicament ne m’aa soulagée! Mais peut être que sans lui j’aurais eu plus de douleurs?