Interpellé par la presse sur son impôt sur la fortune, Sarkosi fait valider sa situation par le Directeur Général des Impôts. Celui déclare que tout à l’air en ordre. On n’imagine pas qu’il eût pu faire autrement…
Autrement c’était se mettre sur la rampe de lancement vers le diable vauvert si le candidat avait été élu ! Voilà ce qui s’appelle de la belle objectivité.
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