On comprend pourquoi Frédéric Mittérand était venu au secours de Polanski, avec quelques autres personnage du monde du spectacle ou d’ailleurs. Ils appartiennent au même clan de la baise qui ont les moyens de violer des petites filles et de les arroser de dollars pour que les poursuites cessent ou de se payer de langoureux voyages en Thailande pour s’envoyer des jeunes d’âge incertain mais qu’on prétendra toujours majeurs.
Cela me donne presque un sentiment d’indugence pour cette pauvre Myriam Badaoui qui accusait tout le monde à Outreau pour essayer de se sortir de la merde dans laquelle elle s’était fourrée. Ceux-là ont le sexe malpropre de la caisse de bière devant une cassette porno en baisant devant les petits. Mais si on les prend, la justice sera sévère.
Et puis il y a les autres qui ont les moyens de se payer le sexe propre et même de s’en pavaner devant le monde dans une confession minable qu’on pourrait réserver au prêtre ou au psychologue, mais qui ne mérite pas qu’on étale ses basses passions dans un livre dont on tirera des droits d’auteur.
Même pour le sexe, le monde est plein d’inégalités.
Laisser un commentaire