La victoire de Σγρίζα est bien la meilleure nouvelle qu’on ait eu depuis bien longtemps. Voilà un peuple qui se lève et dit à Merkel et sa bande de sauvage d’aller se faire voir… non, pas par les grecs. C’est bon. C’est d’autant plus bon que la punition est impossible. Comme disait l’autre : si je dois un million à mon banquier, je suis mal ; si je dois cent millions à mon banquer, c’est lui qui est mal. Les grecs ont bien raison de rappeler à l’Allemagne qu’en d’autres temps, on n’a pas exigé le paiement de dommages de guerre pour permettre à ce pays de retrouver une situation économique convenable. Il faudra donc accepter d’effacer encore un peu de dette grecque. On pourra, légitimement associer à cet effacement des réformes légitimes dont celle de la perception de l’impôt soigneusement pourri par la précédente classe dirigeante qui a largement profité de cette situation et autres saloperies sur lesquelles, et pour cause, les Papandreou et autres Karamanlis ou Papadimos fermaient les yeux. On attend juste de Tsipras qu’il gouverne à gauche. C’est tout.
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