Mais voilà que la crise est venue et que le bon peuple prolo se raisonne un peu parce qu’il faut bien bouffer tout de même. Alors, les machines à sous sont moins pleines qu’avant.
Et voilà que j’entends à la radio les lamentations d’un mec du groupe Barrière. Ce groupe possède les casinos de Besançon, Biarritz, Benodet, Bordeaux lac, Briancon, Les princes, Cannes Croisette, Carnac, Carry le Rouet, Cassis, Chamonix, Dax, Deauville, Dinard, Enghien les bains, Jonzac, La Baule, Le Mail, Mandelieu la Napoule, Menton, Ruhl, Niederbronn les bains, Ouistreham, Perros guirec, Ribeauvillé, Royan, St Malo, St Rapahel, Ste Maxime, Toulouse , Trouville, etc.. Ce sont donc de grands malheureux. Et voilà le mec qui osait laisser entendre que, si les pouvoirs publics ne l’aidait pas, il licencierait des centaines d’employés.
Tous des porcs qui remplissent leur poches, leurs slips, leurs soutifs, leurs chaussettes, de gros paquets de billes de banque, quand la conjoncture est bonne et qui, dès lors qu’elle devient mauvaise et qu’ils n’ont rien provisionné (sauf leurs intouchables biens propres et nombreux), ont le culot de mendier, menacer et faire chanter.
Je ne trouve pas de mots assez vulgaires et injurieux pour qualifier ce comportement.
Parfois j’ai des envie de veuve sanglante Place de la Révolution
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