On bavasse sur la déchéance de nationalité dont les terroristes n’ont rien à branler.
Et pendant ce temps-là, les entreprises licencient toujours, le chômage augmente toujours.
Et en même temps on va nous faire avaler l’état d’urgence permanent dont on oublie qu’il avait été bien pratiqué sous de Gaulle au motif de l’O.A.S. . Il avait fallu attendre Giscard, je crois, pour qu’il soit supprimé.
L’état d’urgence, c’est tous les droits donnés aux flics de vous arrêter pour un oui, un non ou un rien.
L’état d’urgence, c’est le droit donné aux flics de tout ce qu’ils veulent, y compris vous mettre la main dans le slip sous l’Arc de Triomphe sans en référer à un juge.
L’état d’urgence, c’est le Chili de Pinochet, la Grèce des Colonels, l’Espagne de Franco, le Portugal de Salazar, la Pologne de Jaruzelski, la Russie de Poutine et autres régimes divertissants. Mettez l’état d’urgence entre les mains de quelque politique amoureux du pouvoir, genre Le Pen, Valls, Sarko, et c’est la dictature. Sans compter les petits Hitler cachés qui n’attendent que l’occasion de naviguer sur le chômage et le désespoir du peuple pour prendre le pouvoir. Il y a des Pires-Que-Le-Pen qui se cachent. Ou même, j’ai tendance à penser qu’il ne faudrait pas lâcher Valls dans la nature. Il a des symptômes. Peut-être bien pire que Sarko, car il m’inquiète ce gars-là. Vous risquez de le voir, crétins, car si l’un d’entre vous prend le pouvoir, les autres iront au Goulag. Au moins cela me consolera.
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